samedi 30 juin 2012

Un mystérieux objet git au fond de la Mer Baltique

Un mystérieux objet git au fond de la Mer Baltique, on nage en pleine science-fiction.


L’image sonar de l’objet en question est visible : http://www.agoravox.tv/IMG/jpg/mer-baltique-objet.jpg
Qu’en sait-on véritablement ? C’est qu’ils ont rencontré quelque chose que personne n’a jamais vu auparavant. Ils ont d’abord pensé qu’il s’agissait juste d’une pierre ou d’une masse rocheuse mais après des observations plus poussées, l’objet ressemblait plus à un énorme champignon se dressant à 3 ou 4 mètres de hauteur au fond de la mer, avec des flancs arrondis et des bords rugueux. L’objet avait un trou en forme d’oeuf comme une ouverture à son sommet », peut-on lire sur le carnet de bord en ligne de l’Ocean X Team. Une description mystérieuse qui renverrait presque d’une certaine manière aux premières minutes du film Alien. Mais, sans vouloir jouer les rabat-joies, c’est un peu maigre comme info, même si Peter Lindberg, l’un des initiateurs de l’expédition affirme, toujours dans ce carnet de bord, qu’il a vécu l’expérience la plus étrange dans sa longue carrière de plongeur.
Disons le tout de suite: le mot OVNI n’a jamais été prononcé. Mais tous les membres de l’expédition d’Ocean X Team sont remontés à la surface avec cette la sensation étrange qu’ils avaient eu sous les pieds une construction nullement due au hasard. Ils ont découvert des angles droits, des murs avec des surfaces lisses et des cavités semblables à des couloirs à l’intérieur de l’objet. « Lorsque nous avons vu que les murs qui étaient droits et lisses, c’était terrifiant, comme dans un film de science-fiction », raconte Dennis Aasberg. Si les données du sonar 3D ne seront pas utilisables avant la semaine prochaine, Lindberg a déclaré que si ce qu’il a déjà remarqué sur les données brutes se précise, nous sommes à l’aube d’une découverte étonnante. Cependant, il a lui-même reconnu qu’il était maintenant temps qu’une « véritable équipe scientifique » organise une « véritable expédition scientifique » dans cette zone.
Stefan Hogeborn a pour sa part rapporté un étrange phénomène: « Rien ne fonctionnait, tout l’équipement électrique et même les téléphones satellites ont arrêté de fonctionner quand on était au-dessus de l’objet. Et quand on s’est éloigné de 200m, ils se sont rallumés. On est donc retourné au-dessus de l’objet et ils ont de nouveau cessé de fonctionné. »
Enfin, comble de l’étonnement: une seconde structure, appelée par l’équipe « seconde anomalie », semblable à celle visitée, a été trouvée à 200 mètre de la première. Peter Lindberg, le cofondateur de Ocean X Team, prévoit une expédition dans 2 semaines pour explorer celle-là.
Il faudra attendre l’étude des échantillons prélevés sur cet objet pour enfin savoir si la débauche d’efforts valait vraiment le coup ou si les imaginaires des explorateurs et de ceux qui suivent leur expédition se sont enflammés pour ce qui n’était qu’une forme que le hasard a étrangement modelé au fond de la mer.

On a retrouvé l’Etoile Noire !

On a retrouvé l’Etoile Noire !

Je vous invite à monter dans votre X-wing et à visiter ce vestige qui n’est pas l’étoile noire fossilisée comme on pourrait le penser au vu de sa ressemblance, mais cette énigme qui intrigue les spécialistes du domaine. De plus, ce sont les températures qui intriguent le plus, nous savons que le système solaire se réchauffe, le réchauffement climatique n’est pas uniquement sur la terre même si cela en arrange plus d’un qui font leur beurre avec l’écologie, et cela se compte en milliards, mais cette planète est assez unique…. Habitée? On peut spéculer et rêver non? ;)
Etoile de la MortIl y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine … Stop, pas si lointaine que ça pour le coup, les scientifiques ont retrouvé l’Etoile de la Mort et elle rôde près de Saturne !
La comparaison entre l’Etoile Noire et cette lune saturnienne est assez bluffante … Pourtant, nous connaissons Mimas depuis 1979, date à laquelle la NASA a pris les premières photos. Première coïncidence, Star Wars était sorti à peine deux ans auparavant.
Sont-ce les restes de la station spatiale de l’Empire du Mal, hantant l’espace non loin de chez nous ? On aimerait y croire, mais remettons les pieds sur Terre. Mimas arbore un cratère gigantesque sur sa surface nommé Herschel. Il atteint au maximum 10 km de profondeur. A l’échelle de la Terre, il serait aussi conséquent que l’Australie.
Et ce n’est pas le seul mystère gravitant autour de cet astre. Grace à des mesures de haute précision, les scientifiques se sont aperçus que cette lune avait des températures de surface très étranges. Sur les images, on aperçoit des bandes, des points, de la lumière et des zones d’obscurité … ça ne vous rappelle rien ?
Etoile de la Mort
Les scientifiques ne parviennent pas à expliquer ces phénomènes, mais affirment que le cratère Herschel est le principal suspect. Notre avis ? Il y a encore de l’activité au sein de l’Etoile Noire ! Les points chauds se peuvent être que des travaux de rénovation ou des vaisseaux qui s’activent. On pense aussi à un éventuel résidu de Force.
Etoile Noire
Nous verrons d’ici quelques années si elle se rapproche de nous …
Source: Gizmodo.fr
Quand à ce réchauffement de notre système solaire (et même pluton est concernée), bien beau d’en parler, encore faut-il pouvoir donner quelques sources ou infos là dessus, certains en ont parlé ici dans leurs commentaires, Jovanovic en a parlé dans son livre 777, et il fallait bien de quoi appuyer ces arguments, voici donc de l’info sur le sujet:
Les humains pourraient-ils être responsables des changements climatiques sur les autres planètes du système solaire, ou le soleil en serait-il le grand responsable ?
Paul Joseph Watson, Prison Planet
Le 16 novembre 2006
Kofi Annan avait fortement critiqué les sceptiques du réchauffement climatique comme étant des « déphasés » et des « attardés », mais comment les activités humaines pourraient-elles arrêter les changements climatiques quand toutes les preuves démontrent clairement que le soleil lui-même, et non les activités humaines, réchauffe le système solaire en entier ?
« Le chef de l’O.N.U. a déploré « un manque effrayant de leadership » dans la mise en place des prochaines étapes pour réduire les émissions globales. « Nous devons commencer par être plus courageux politiquement », a-t-il plaidé, exhortant les centaines de délégués des quelque 180 nations membres du Traité sur le Climat de 1992 de l’O.N.U. », a rapporté Forbes.
Mais comment pouvons-nous ignorer le fait que presque la totalité des planètes de notre système solaire éprouve simultanément des changements climatiques et des modèles météorologiques volatils. Ceci ne nous suggère-t-il pas que ces réchauffements climatiques sont un cycle naturel résultant de la nature évolutive du soleil ? Al Gore peut-il nous expliquer ce fait ?
- Spatial.com : le réchauffement de l’atmosphère de pluton intrigue les scientifiques
Dans ce qui semble n’être qu’un renversement des annonces du mois d’août, les astronomes ont révélé, aujourd’hui, que Pluton subissait un réchauffement de son atmosphère mince, même si cette planète s’éloignait du soleil sur son orbite longue et bizarrement formée.
- Spatial.com : une nouvelle tempête sur Jupiter présage des changements climatiques
Les dernières images pourraient fournir des preuves que Jupiter est au beau milieu de changements globaux qui pourraient modifier les températures par plus de 10 degrés fahrenheit sur différentes parties de cette planète.
- Current Science & Technology Center : réchauffement global sur Mars ?
Une étude des calottes glacières sur Mars peut démontrer que la planète rouge éprouve une tendance au réchauffement. Si Mars et la Terre sont en train de subir un réchauffement global, alors il y a peut-être un plus grand phénomène qui est en train de se produire dans le système solaire qui provoque des changements dans leurs climats globaux.
- United Press International : la NASA examine une tempête monstre sur Saturne
La NASA a révélé que son vaisseau spatial Cassini a découvert une tempête ressemblant à un ouragan au pôle sud de Saturne, d’un diamètre de presque 5000 miles, ou l’équivalent de deux tiers du diamètre de la Terre.
- Science Agogo: réchauffement global détecté sur Triton
Il ne doit pas y avoir beaucoup de pollution industrielle sur la surface de la plus grosse lune de Neptune, néanmoins, les choses se réchauffent. « Au moins depuis 1989, Triton a subi une période de réchauffement climatique », confirme l’astronome James Elliot, professeur aux Sciences terrestres, atmosphériques et planétaires de l’Institut de technologie du Massachusetts. « Concernant le pourcentage, c’est considéré comme une très forte augmentation ».
- Associated Press : une étude révèle que le soleil se réchauffe
Les radiations solaires qui atteignent la Terre sont 0,036 pour-cent plus chaude qu’en 1986, quand l’actuel cycle solaire commençait, a rapporté un chercheur dans une étude qui doit être publiée ce vendredi dans un journal scientifique. La découverte est basée sur une analyse des satellites qui mesurent la température de la lumière solaire.
- London Télégraph : la vérité sur le réchauffement global – le soleil est à blâmer
Le réchauffement global a finalement été expliqué : la Terre se réchauffe parce que le soleil produit plus de lumière qu’à n’importe quel moment dans les 1000 dernières années, selon la nouvelle recherche.
La simple réalité est qu’à travers les âges, la Terre s’est balancée allègrement entre des climats chauds, humides et stables, à des climats froids, secs et venteux, bien avant que le premier baril de carburant fossile ne brûle. Les changements que nous observons présentement ne sont qu’une simple promenade dans un parc en comparaison des combats que notre planète a pu endurer dans le passé.
Ceci n’est pas une défense pour les cartels pétroliers ou les destructeurs néo-conservateurs, qui auraient toutes les raisons du monde d’ignorer le réchauffement global, qu’il soit fabriqué par l’homme ou pas.
Ce n’est pas, non plus, un démenti des faits que la terre est, présentement et graduellement, en train de se réchauffer, mais comment pouvons-nous réconcilier le réchauffement global qui est en train de se produire dans les lieux les plus éloignés du système solaire avec l’argumentation qu’il puisse être provoqué par l’activité humaine? Les gaz d’échappements de nos voitures ont-ils réussi à quitter l’atmosphère terrestre et à se glisser dans un trou noir jusqu’à Triton?
L’affirmation selon laquelle le réchauffement climatique puisse être fabriqué par l’homme est tellement renforcée d’une manière oppressive dans l’opinion populaire, surtout en Occident, que le simple fait d’exprimer le moindre petit doute à ce sujet est semblable à démentir l’holocauste dans certains cas. Le lavage de cerveaux, forgé par l’intermédiaire de la télévision, les journaux et les grands cerveaux de ce monde, est tellement insipide que les sceptiques sur le réchauffement climatique doivent porter une étoile jaune métaphorique et discuter de leurs doutes seulement à voix basse et dans des cadres conciliants ou être dénoncés, harangués et injuriés par une armée de supposés bienfaiteurs qui croient vertueusement secourir notre bonne vieille terre en recyclant une bouteille de vin ou en mettant leurs papiers dans une boîte à déchets séparée.

mardi 26 juin 2012

Des moines Tibétains voient les Extraterrestres sauver la Terre de l’autodestruction en 2012

Lundi 25 juin 2012125/06/Juin/201222:15

12-26-04La vision à distance n’a rien de nouveau dans les monastères tibétains. Depuis des milliers d’années, elle a dominé la culture tibétaine parmi les autres activités spirituelles.

Ce que des touristes indiens ont appris de quelques monastères du Tibet en vertu de la règle chinoise actuelle est très inquiétante et fascinante.
Selon ces Touristes, ces voyants voient les puissances mondiales en cours d’autodestruction. Ils voient aussi que le monde ne sera pas détruit.



Entre maintenant et 2012 les superpuissances mondiales continueront de s’engager dans les guerres régionales. Le terrorisme et les guerres clandestines seront le problème principal.
Dans la politique mondiale quelque chose se passera aux alentours de 2010. A ce moment là les puissances mondiales menaceront de se détruire les unes les autres. Entre 2010 et 2012 le monde entier sera polarisé et se préparera pour la fin du monde. De lourdes manoeuvres politiques et négociations se mettront en place avec peu de progrès.

En 2012 le monde entier commencera à plonger dans une guerre nucléaire totale et destructive. Et à ce moment là quelque chose de remarquable se produira, déclarent les moines bouddhistes du Tibet.
Des puissances surnaturelles divines interviendront. Le destin du monde n’est pas de s’autodétruire à ce moment. Les interprétations scientifiques des déclarations des moines rendent évidentes que les puissances extraterrestres nous surveillent à chaque instant. Ils interviendront en 2012 et sauveront le monde de l’autodestruction.

Quand on les questionne sur les récentes observations d’ovnis en Inde et en Chine, les moines sourient et disent que les puissances divines nous surveillent. On ne peut laisser l’Humanité altérer le futur à ce point.
Chaque être humain à travers ses actes présents dans la vie appelés “Karma” peut altérer ses vies futures à un certain points, mais changer le destin à ce point ne sera pas autorisé dans une si grande mesure. Les moines mentionnent également qu’au delà de 2012 notre civilisation actuelle devrait comprendre que la frontière finale de la science et de la technologie se trouve dans le domaine de la spiritualité et non dans la physique et la chimie matérielles.

Au delà de 2012, les découvertes technologiques prendront une nouvelle direction. Les gens apprendront l’essence de la spiritualité, la relation entre le corps et l’âme, la réincarnation et le fait que nous soyons connectés les uns aux autres et faisons tous partie de “Dieu”. En Inde et en Chine les observations d’ovnis ont augmenté de manière significative. Beaucoup disent que les gouvernements Indien et Chinois sont contactés par les extraterrestres. Ces derniers jours, la plupart des activités d’ovnis ont été vues dans ces pays qui ont développé localement des capacités nucléaires.

monksQuand on leur demande si les Extraterrestres se montreront dans la réalité, la réponse donnée par les voyants est qu’ils se montreront de manière à ce que personne ne soit effrayé. Ils ne se révèleront que s’il y sont obligés. Comme notre science et technologie progresse, nous sommes destinés à les voir et à interagir avec eux d’une manière ou d’une autre.

Selon les voyants notre Terre est bénie et est continuellement sauvée de toutes sortes de hasards dont nous n’avons même pas conscience. Tandis que nos technologies progressent nous réaliserons comment des forces externes nous ont sauvés.

Source : http://www.indiadaily.com/editorial/12-26-04.asp

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2012 et aprés

Les plantes mutantes du Michigan

Lundi 25 juin 2012125/06/Juin/201222:27



Malgré le fait que le gouvernement américain a affirmé qu'il n'y avait pas de danger pour les Etats-Unis suite à la catastrophe nucléaire de Fukushima, ces dernières documents du CNRC prouveent qu'il éxiste une grande conspiration criminelle visant à couvrir le danger.
Dans sa vidéo, Christina filme de nombreuses photos de pissenlits qui ont été trouvés mutants dans la région du Michigan.

http://blog.alexanderhiggins.com/2012/04/23/3rd-plant-species-mutations-3rd-michigan-location-126131/
Vers un nouveau paradigme
2012 et aprés

Un Théologien du Vatican déclare qu’il y a eu contact Extraterrestre

Lundi 25 juin 2012125/06/Juin/201222:32




ROME– Monseigneur Corrado Balducci, un ancien proche du Pape est allé 5 fois à la Télévision Nationale Italienne pour proclamer que le contact extraterrestre est un phénomène réel.

Le prélat a annoncé que le Vatican reçoit beaucoup d’informations sur les extraterrestres et leurs contacts avec les humains par ses Nuncios (emb...assades) dans divers pays tels que le Mexique, Chili et le Vénézuela. Msr Balducci a dit qu’il fait partie d’une commission du Vatican qui étudie les rencontres extraterrestres, et comment faire face à l’émergence d’une prise de conscience générale du contact extraterrestre. Balducci a fourni l’analyse de l’Eglise Catholique sur les extraterrestres, soulignant que les rencontres extraterrestres “ne sont PAS démoniaques, qu’elles ne sont pas dues à une déficience psychologique, qu’elles ne sont PAS des cas de possession par des entités, mais que ces rencontres méritent d’être étudiées attentivement.”

Puisqu’il est un expert exorciste du Vatican et puisque l’Eglise Catholique a a toujours diabolisé beaucoup de phénomènes nouveaux qui ont été mal compris, le fait de proclamer que le Vatican ne censure plus ces rencontres est des plus remarquables. Malheureusement Msr Balducci est décédé mais on continue son travail et le Vatican suit de près ce phénomène.

Dans son testament Msr Balducci a expliqué que pas seulement la population générale mais aussi des personnes hautement crédibles, cultivées, instruites, de haut rang reconnaissent de plus en plus sue ceci est un phénomène réel. Il continue a parler des peuples extraterrestres comme faisant partie de la création de Dieu et qu’ils ne sont ni des anges ni des démons. Bien qu’ils soient probablement plus évolués spirituellement.


World Gathering for Truth world-action.co.uk.
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2012 et aprés

L’élévation du niveau de la mer menace la côte atlantique des Etats-Unis

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Lundi 25 juin 2012125/06/Juin/201222:33

Une catastrophe annoncée pour les USA? Il y a pourtant un pays qui est rongé depuis longtemps par un mal inexorable, des populations chassées par la disparition de leurs terres sans que personne ne puisse agir le moins du monde, et celui-ci, personne n’en parle, il s’agit du Bangladesh, mais un américain, ça a de l’argent, cela fait toute la différence… C’est à tous les niveaux que le changement à commencé, il ne faut pas l’oublier!



PARIS – Le niveau de la mer sur une bande côtière de la façade atlantique des Etats-Unis incluant des villes comme New York et Boston, augmente jusqu’à quatre fois plus rapidement que la moyenne mondiale, selon une étude publiée dimanche dans la revue Nature Climate Change.

Ce phénomène, lié au changement climatique, augmente le risque d’inondation de l’une des zones côtières les plus densément peuplées et menace la biodiversité des zones humides, selon cette étude du centre américain de surveillance géologique USGS.
Ces conclusions paraissent alors que des experts du Conseil national de la recherche américain ont estimé vendredi que l’élévation du niveau de la mer due au réchauffement climatique pourrait se révéler deux à trois fois plus importante que prévu au cours de ce siècle.

Depuis 1990, le long de la bande de mille kilomètres de long de la façade atlantique des Etats-Unis examinée dans Nature Climate Change, le niveau de la mer a augmenté de 2 à 3,7 millimètres par an. Au niveau mondial, la hausse se situe entre 0,6 et 1 mm, précise l’étude basée sur des relevés de marées.

Si le réchauffement se poursuit, le niveau de la mer sur cette partie de la côte atlantique pourrait augmenter d’ici 2100 de 30 cm de plus que la hausse de 1 m en moyenne au niveau mondial avancée par les projections des scientifiques.
La particularité de cette bande côtière viendrait du modèle climatique à la base des projections, explique à l’AFP l’océanographe Kara Doran de l’USGS.

Lorsque l’eau fraîche provenant de la fonte de la couche glacière du Groenland pénètre dans l’océan Atlantique, cela perturbe la circulation des courants qui sont ralentis, précise-t-elle. Ce ralentissement du Gulf Stream entraîne une élévation du niveau de la mer le long de la côte, avec un phénomène particulièrement prononcé là où le courant repart vers le large, ajoute-t-elle.
Des hausses extrêmement importantes du niveau de la mer qui arrivent peut-être une à deux fois par an l’hiver ou pendant des tempêtes tropicales, risquent de se produire plus souvent, selon Mme Doran, avec pour conséquences une érosion accrue des plages et davantage d’inondations.

En 2007, le groupe des experts de l’Onu sur le climat (Giec) avait tablé sur une hausse jusqu’à 59 cm d’ici 2100 du niveau des océans. Une menace déjà importante pour de nombreux petits Etat insulaires. Depuis, des études ont revu ce chiffre à la hausse, jusqu’à 1 mètre, en raison d’un rôle jugé plus important de la fonte des glaces de l’Arctique.
Dans une autre étude publiée dans Nature Climate Change, des chercheurs européens regardent au-delà de 2100: selon leurs calculs, une hausse des températures de 2°C provoquerait une hausse de 2,7 m en 2300 par rapport au niveau actuel. Limiter le réchauffement à +1,5°C contiendrait cette hausse du niveau des océans à 1,5 m.
L’objectif actuel de la communauté internationale est de limiter le réchauffement à moins de 2°C par rapport à l’époque pré-industrielle, sachant que la température globale a déjà augmenté de près d’1°C.

Etant donné le temps que cela prend pour que les glaces et les masses d’eau réagissent au réchauffement, nos émissions actuelles vont être déterminantes pour les niveaux des mers dans les siècles à venir, souligne Michiel Schaeffer, auteur de l’étude et chercheur à l’Université de Wageningen aux Pays-Bas.

©AFP Romandie.com
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lundi 25 juin 2012

Puce RFID : première campagne de publicité aux USA

Dimanche 24 juin 2012724/06/Juin/201219:34
verichip.jpg

Nous l'annoncions depuis quelques années, et en ce beau mois de Juin 2012, c'est désormais chose faite :
Le Société Vérichip vient de lancer sa première campagne de publicité pour promouvoir la Marque de la Bête.
Bien évidemment, santé, sécurité et petite musique douce sont au programmes pour faire passer la pille pro-NWO aux masses naïves et trop souvent incultes :



La Société Vérichip lance officiellement ses premières campagnes publicitaires pour pucer le grand public, exactement comme les « conspirationnistes » (autrement dit le Mouvement pour la Vérité) l'avaient annoncé - Verichip par Youtube
Rappelons que les Francs-maçons aux Etats-Unis développent parallèlement des programmes de kits « maçonniques » (qui ne sont pas pour le moment des puces sous cutanée, histoire de ne pas heurter les mamans tant que l'idée n'aura pas été inculquée par le matraquage publicitaire), pour la traçabilité et la protection de l'enfance : des Masonichips plus que jamais destinées à préparer les générations futures...
Tout ce beau monde devrait bientôt se rejoindre, sans aucune surprise bien évidemment.
Mais les forces pro-NWO et les propagandistes patentés, sur les médias quotidiens, viendront nous raconter qu'il ne s'agit ici que d'une pure coïncidence...
Source: 911NWO
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2012 et aprés

vendredi 22 juin 2012

LES 12 FRUITS ET LÉGUMES CONTENANT LE PLUS DE PESTICIDES

LES 12 FRUITS ET LÉGUMES CONTENANT LE PLUS DE PESTICIDES

Postée le 21/06/2012 à 19h05
Les 12 fruits et légumes contenant le plus de pesticides

Après les « Clean15 » d'Environmental Working Group (EWG), il est l'heure de récolter les mauvais points : les fruits et les légumes contenant le plus de pesticides. Baptisée « Dirty 12 », la liste contient des fruits et légumes que nous avons particulièrement l'habitude de consommer...
Manger 5 fruits et légumes par jour, voici une doctrine pas toujours facile à respecter au quotidien. Eviter les pesticides dans notre assiette, encore moins !
Pour aider le consommateur à acheter ses fruits et légumes en toute connaissance de cause, EWG a réalisé un guide d'achat dans lequel se trouvent également deux listes : les fruits et légumes contenant le moins de pesticides et ceux qui en contiennent le plus.
Des études ont montré que certains pesticides sont cancérigènes et peuvent causer des retards de développement chez l'enfant, qui doivent donc particulièrement éviter d'y être exposés.
L'EWG a analysé 45 fruits et légumes communs. Les fruits ont été testés après avoir été lavés et épluchés, soit dans l'état où ils sont consommés le plus fréquemment par la population.
Les pommes occupent le haut du classement mais les nectarines importées étaient positives à 100% aux tests de pesticides effectués. Les raisins et les poivrons contenaient quant à eux 15 pesticides différents sur un seul échantillon, ce qui est le niveau de contamination le plus élevé.
Les chercheurs ne conseillent pas pour autant d'éviter de consommer ces fruits et légumes-là, puisque pour être en bonne santé il faut une alimentation variée et équilibrée. Ils conseillent plutôt de les acheter sous un label bio quand c'est possible (généralement selon la saison) et de se rabattre sur les 15 fruits et légumes les moins contaminés le cas échéant.
Pommes
Céleri
Poivrons
Pêches
Fraises
Nectarines importées (l'étude a été effectuée aux USA)
Raisins
Epinards
Laitue
Concombres
Myrtilles
Pommes de terre

Un article de Laura Guiot, publié par RTL.be

Mémoire de nos ancètres : à l’heure du solstice d’été

Jeudi 21 juin 2012421/06/Juin/201218:10


21 juin à l’aube. la nuit disparait devant le jour naissant. Là-bas, vers l’est, le ciel se colore de vert émeraude, tel un océan paisible. Puis tout vire au rose, comme si mille fleurs aux tendres pétales éclataient au milieu des nuages gris. Enfin du sol même de la vieille Angleterre semble surgir le disque du soleil, rouge vif. Aujourd’hui il va accomplir sa course la plus longue. Jamais comme au solstice d’été il ne s’attarde ainsi parmi les hommes, avec une telle chaleur, une telle force, une telle puissance. Le soleil tient enfin la promesse des longs mois d’hiver. Il revient parmi nous. Il nous réchauffe et nous éclaire. Il protège l’océan des blés et annonce l’or des moissons.

En ce matin sacré, nous sommes à Stonehenge (photo ci-dessus, note de Novo), sur les hautes terres dénudées de la plaine de Salisbury. Au nord, le pays de Galles et ses vertes collines. Au sud, la presqu’île de Cornouailles et ses rochers roux. Derrière nous vers l’ouest, l’océan où va, ce soir, au terme de sa plus longue journée de labeur, sombrer le soleil. Quand il aura fini sa course, il disparaitra dans la mer où dorment à jamais, dans les grands fonds, les temples et les hommes de l’Hyperborée. De la pierre de l’autel, au centre du monument mégalithique de Stonehenge, on voit le soleil se lever sur la pointe d’un menhir, du nom de Heel stone, dressé dans le prolongement de l’avenue principale. Ici, depuis trente ou quarante siècles, des hommes sont venus, en ce jour unique de l’année, assister au lever du soleil créateur, du soleil invaincu, du soleil souverain.(…)

Dans ce temple à ciel ouvert qui n’avait pas d’autre dieu que le soleil, ceux qui nous ont précédé célébraient le grand mariage de la terre et du feu, le grand culte tellurique de la seule force qui ne mente pas et de la seule vie qui soit éternelle. La science ne s’oppose pas à la foi. Elle l’éclaire et la renforce. On sait aujourd’hui que Stonehenge n’est pas seulement un monument élevé pour découvrir le soleil du solstice d’été au nord-est, mais aussi pour saluer celui du solstice d’hiver au sud-ouest.(…)

Le passé et l’avenir avancent du même pas. La vie semble mourir au solstice d’hiver et elle renaît au solstice d’été. Stonehenge n’est pas le témoignage impressionnant d’un culte disparu mais le point précis où peuvent désormais s’ancrer notre certitude et notre espérance. Ce que les hommes aperçoivent dans Sun stone, la pierre du soleil, ce n’est pas le signe maudit de la fin du monde, c’est la présence vivante de l’éternel retour.”

Jean Mabire, cité dans “Fêtes païennes des quatre saisons”, sous la direction de Pierre Vial. Éditions de la Forêt.


http://echelledejacob.blogspot.fr/2012/06/memoire-de-nos-ancetres-lheure-du.html#more
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Le culte solaire est très ancien et remonte aux racines de l'humanité.

Les Aztèques et Mayas, les Egyptiens (Râ ou Rê), les Grecs et Romains (Apollon, Hélios...)etc, mais aussi dans la religion Chrétienne, Jésus est "la lumière du monde", donc le Soleil.

Si notre planète, Gaia, dont on nous parle en ce moment avec le sommet de la Terre de Rio (récupéré par le NWO et par les multinationales) est une "conscience planétaire", évidemment notre étoile, Sol, est une "conscience" encore plus élevée.

Cela repose sur l'idée qu'une "super-conscience" peut résulter de l'agrégation d'une multitude de consciences individuelles, comme nous le voyons en constatant les mouvements coordonnés de bancs de poisson ou de vols d'oiseaux, ou encore d'essaims.

A l'inverse, nous pouvons imaginer qu'une super-conscience très évoluée (esprit (de) groupe) anime chaque individu dès sa naissance comme on le sait avec l'instinct d'espèce. L'évolution des connaissances d'un individu ou d'un ensemble d'individus enrichit donc l'esprit groupe, c'est peut-être là le support de la théorie du 100° singe.

L'ami Pierrot
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2012 et aprés

Où irez-vous si Fukushima explose ?

Mercredi 20 juin 2012320/06/Juin/201221:17

Tandis que le club des journalistes parisiens nous bombarde de gros titres sur le dernier tweet de Valérie Trierweiler (passionnant !), les mésaventures de Ségolène (navrant !), le départ de Laurence Ferrari (émouvant !) ou encore les déclarations des (ir)responsables Européens sur la crise des dettes publiques, la situation à Fukushima tourne à la catastrophe sans que cela ne mérite une ligne dans nos journaux ni même quelques secondes d'antenne.

Et pourtant, si l'objectif des journalistes officiels est de « vendre du papier » ou « faire de l'audience », puisque beaucoup d'entre eux ne s'en cachent même plus, parler de ce qui se passe réellement à Fukushima leur permettrait d'exciter les foules, à juste titre pour une fois.

Mais pour l'instant, c'est le silence... de mort.

Une question de survie de l'espèce humaine

Lorsque la centrale nucléaire de Fukushima fut ravagée par le tremblement de terre puis le tsunami en mars 2011, les autorités japonaises et les agences spécialisées dans le nucléaire ont eu une seule priorité : minimiser de façon obscène l'impact sanitaire de la catastrophe, pour empêcher tout mouvement de panique.

L'explosion d'une centrale nucléaire libère pourtant dans l'atmosphère une grande quantité de radionucléides radioactifs. Il en va de même des retombées radioactives après l'explosion d'une bombe atomique ou d'une « bombe sale ». L'un des composés radioactifs les plus communs est alors l'iode 131 (131I). Et c'est ce qui s'est passé à Fukushima (plus à ce sujet ci-dessous).

Par chance, il existe un moyen rapide, très efficace, très bon marché, et sans effets indésirables graves, d'immuniser votre organisme contre l'iode 131, ce qui n'est pas le cas des autres composés radioactifs (césium par exemple).

Il vous suffit de prendre, dans les deux heures qui suivent l'accident nucléaire, un comprimé d'iode, ou de vous badigeonner 2 mL de teinture d'iode sur la peau (1 mL pour les enfants). Si vous n'avez pas d'iode dans votre armoire à pharmacie, vous pouvez utiliser de la bétadine, en doublant la dose. L'application est à renouveler trois jours plus tard. De cette façon, vous saturez votre corps d'iode non radioactif et vous diminuez de 97 % votre absorption d'iode radioactif, et ce sans effets indésirables graves.

En effet, votre glande thyroïde est programmée pour emmagasiner et concentrer rapidement l'iode qui passe à sa portée. Si c'est de l'iode radioactif, votre thyroïde l'absorbera et vous serez exposé à des rayonnements internes, qui augmenteront votre risque de cancer de la thyroïde et de nodules bénins. Les enfants et les bébés sont encore plus vulnérables que les adultes.

Mais si votre thyroïde est déjà saturée d'iode non radioactif, alors votre corps n'en absorbera plus. Et vous pouvez obtenir ce résultat en vous badigeonnant de la teinture d'iode sur votre peau.

Cela ne coûte quasiment rien. Mais encore faut-il en avoir dans son armoire à pharmacie.

Attention, il existe des dangers à utiliser de la teinture d'iode, qui n'est pas un produit anodin. Il convient, avant de l'utiliser, de demander l'avis d'un médecin ou d'un pharmacien. Il ne faut pas l'associer à des antiseptiques à base de mercure. Les femmes enceintes et les bébés de moins d'un moins ne doivent pas l'utiliser sans avis médical. De même, toute personne qui présente une certaine sensibilité à l'iode, qui est atteinte d'une maladie thyroïdienne et qui souffre de troubles cardiaques ne devrait pas s'appliquer de teinture d'iode.

Il est vital d'agir rapidement

La rapidité d'administration de l'iode après une exposition à de l'iode radioactif est un facteur décisif d'efficacité. L'effet protecteur est de 97 % lorsque la teinture est administrée au moment de l'exposition, mais passe à 85 % une heure après, et à 50 % entre 3 et 4 heures après l'exposition. Après 6 heures, vous êtes « out ».

Pour ces raisons, il semble raisonnable de vous préoccuper aujourd'hui de mettre dans votre armoire à pharmacie une bouteille de teinture d'iode. Il ne vous en coûtera que quelques euros.

La bombe à retardement n'est pas du tout désamorcée

Contrairement à ce qu'ont reconnu les autorités au moment de l'accident, des dizaines de milliers de personnes au Japon et dans le Pacifique ont été affectées par les émissions de césium 137 radioactif suite au tsunami de mars 2011. Des déchets de la centrale de Fukushima ont été retrouvés jusque sur les côtes de la Californie. Alors qu'on craignait que l'accident fût pire que celui de Tchernobyl dans les jours qui suivirent, personne n'imaginait à quel point ce serait pire en effet.

Si les estimations actuelles sont exactes, Fukushima a déjà relâché autant de radiations dans l'atmosphère que Tchernobyl. La différence est que la société TEPCO et le gouvernement japonais n'ont pas voulu construire de sarcophage en béton autour de la centrale, comme ce fut fait par les soviétiques, à un coût humain il est vrai gigantesque.

Aujourd'hui, on se retrouve donc avec des installations nucléaires à nu, et le risque d'un désastre encore dix fois plus grand si un nouveau tremblement de terre devait se produire. Ce scénario est malheureusement probable dans cette région à forte activité sismique.

Nous sommes donc aujourd'hui à la merci de la nature. Le gouvernement japonais le sait, et prépare actuellement des plans pour l'évacuation totale de l'agglomération de Tokyo, un exode aux conséquences humanitaires apocalyptiques qui concernerait 40 millions de personnes ! En fait, d'immenses territoires aujourd'hui densément peuplés dans l'hémisphère nord deviendraient inhabitables, pour des siècles voire des millénaires.

Nier les faits ne sert à rien

Il n'existe aucun moyen de nier cette réalité. Prétendre que la menace n'existe pas ne peut ni écarter le danger, ni vous protéger vous et votre famille. Le seul effet sera de vous laisser démuni le jour où le désastre se produira.

Il faut que vous ayez en tête les faits suivants :

La centrale de Fukushima-Dai-Ichi contenait six réacteurs nucléaires. Le tsunami du 11 mars 2011 provoqua l'inondation des générateurs produisant l'électricité du système de refroidissement, ce qui entraîna, dans les jours qui suivirent, la fusion de trois réacteurs sur les six (« full melt down »).

Chacun d'entre eux va alors connaître des explosions d'hydrogène, qui détruiront leur toit et leur partie supérieure.

À partir de ce stade, des rejets massifs vont se produire dans l'atmosphère et l'environnement. Le gouvernement japonais prend alors une décision dramatique : demander que de l'eau de mer soit utilisée pour refroidir les réacteurs, ce qui acheva de les détruire complètement, et à relâcher des millions de litres d'eau contaminée dans le Pacifique.

La catastrophe fut donc classée au niveau 7 (le plus élevé) de l'échelle internationale des événements nucléaires.

Le cauchemar des piscines

Mais la pire menace actuellement concerne les « piscines ».

Il faut savoir que, dans une centrale nucléaire de type Fukushima, les barres de combustible usé sont stockées dans des piscines remplies d'eau. Ce combustible émet des rayonnements qui sont extrêmement dangereux pour l'homme et dégage une énorme chaleur. Dans les conditions normales, l'eau permet de bloquer les rayons, et de refroidir les barres de combustible usé. Des machines permettent en outre d'examiner les barres, de les déplacer, etc.

Le problème est que, suite à l'accident, le système de refroidissement a cessé de fonctionner, ce qui a d'abord produit l'évaporation de l'eau puis un incendie dans la piscine du réacteur n°4, produisant de nouvelles émissions de vapeurs radioactives. Les installations pour déplacer les barres ont été détruites. Aujourd'hui, plus aucun être humain ne peut s'approcher de ces piscines.

Une catastrophe imminente ?

Aujourd'hui, mardi 19 juin 2012, la radioactivité a tellement monté dans la piscine n°2 qu'il n'est plus possible de la mesurer. (Oui, vous avez bien lu : la radioactivité est trop forte pour être mesurée). L'eau étant en train de s'évaporer, la chaleur et les radiations pourraient augmenter fortement et déclencher de nouveaux incendies.

La piscine n°4 est à 30 mètres au-dessus du sol et elle est exposée à l'air libre. La structure qui l'entourait et qui la soutenait est fortement endommagée. Si un nouveau tremblement de terre se produisait et qu'elle s'effondrait ou se mettait à fuir, un incendie radiologique catastrophique se produirait qui pourrait provoquer des émissions de Césium dix fois supérieures à Tchernobyl.

Il est de plus impossible de retirer ces barres radioactives car le système prévu a lui aussi été détruit lors du tsunami. Les retirer avec une grue provoquerait des émissions de radiations destructrices, des incendies et potentiellement aussi des explosions, qui ne peuvent être évités qu'en les maintenant en permanence dans l'eau, dans des structures renforcées (ce qui n'a encore jamais été pratiqué nulle part, ajoutant une forte dose d'imprévisibilité à l'opération).

Certains scientifiques pensent même que l'effondrement des piscines serait si grave que l'ensemble du Japon devrait être évacué. Cela représenterait 125 millions de réfugiés, ce qui causerait un désastre humanitaire sans précédent.

Une des plus grandes accumulations de radioactivité de la planète

Avant que vous ne balayiez de la main ces informations en les attribuant à quelque réseau antinucléaire extrémiste, voici ce qu'a déclaré Robert Alvarez, haut conseiller à l'environnement et à la sécurité nationale au ministère de l'énergie des Etats-Unis (Senior Policy Adviser to the Secretary for National Security and the Environment for the US Department of Energy) :
« Le total des stocks de combustible nucléaire usé sur le site de Fukushima Daichi contient près de la moitié du montant total du Césium 137 libéré par tous les essais d'armes nucléaires dans l'atmosphère, Tchernobyl, et les usines de retraitement du monde entier (environ 270 000 000 curies ou 9,9 E +18 becquerels).

Il est important que le public comprenne que les réacteurs qui fonctionnent depuis des décennies, comme celui du site de Fukushima-Dai-Ichi, ont produit un des plus grandes accumulations de radioactivité de la planète. »
Les agences nucléaires du monde entier sont en alerte face à l'éventualité d'une nouvelle dégradation des réacteurs de Fukushima et des piscines de combustible usé, et des retombées radioactives qui s'ensuivraient. Une série d'explosions se produiraient qui entraîneraient des radiations dans l'ensemble de l'hémisphère nord, qu'il serait impossible de limiter.

Ne comptez pas sur les autorités pour vous « prendre en charge »

La morale de cette histoire est que, quoi que l'avenir nous réserve, ne comptez pas sur les autorités pour vous protéger, et encore moins pour vous « prendre en charge ».

Si, dans un domaine aussi crucial que la sûreté nucléaire, elles sont capables de laisser une telle catastrophe se produire (difficile de prétendre qu'au Japon, personne ne connaissait le risque de tremblements de terre et de tsunami...), et si elles sont capables de si mal gérer les conséquences, dites-vous bien qu'elles agissent de la même façon, et pire encore, dans d'autres domaines, y compris celui si crucial de la santé publique.

La réalité est que les experts des gouvernements ne sont tout simplement pas préoccupés, en premier lieu, par le bien public, et encore moins par votre cas particulier ou par le mien.

Pour eux, comme pour beaucoup de monde, la priorité est avant tout d'assurer leur propre avancement, leur propre prestige. Et s'il faut pour cela contribuer, de façon active ou passive, à mettre en place un système dangereux et inhumain, beaucoup, malheureusement, n'hésiteront pas. L'histoire l'a prouvé, et combien de fois.

Je vous tiendrai informé

Je continue à recevoir, au jour le jour, des informations exclusives de Fukushima. Vous serez donc parmi les premiers à être informé dès que ce produira un événement important, et sans que les informations ne passent par le filtre des agences officielles. Cela vous permettra, si vous le souhaitez, d'être parmi les premiers à réagir.

C'est ce qui fait, en général, toute la différence.

Bien à vous,

Jean-Marc Dupuis
Santé Nature Innovation
Sott.net
publi 3-4Vers un nouveau paradigme
2012 et aprés

Divertir pour dominer ou la culture de masse contre les peuples

Mercredi 20 juin 2012320/06/Juin/201221:23

Selon Peter Reichel, les nazis auraient été les premiers à comprendre l’importance de la culture de masse. Avec tous les moyens à leur disposition, ils ont créé un monde d’illusions qui a entraîné un peuple entier au désastre avec sa complicité active. En fait, ce résultat n’est que la continuation logique de la Révolution industrielle. C’est en Angleterre, le berceau de l’industrialisation, que sont nés le sport et le tourisme avant que les Etats-Unis ne deviennent le cœur de la culture de masse. La naissance de la production de masse au début du XXe siècle correspondait l’émergence d’une consommation de masse.

En coupant les travailleurs de leur base rurale et domestique, qui constituait leur principal moyen de subsistance et leurs réseaux de sociabilité, le capitalisme industriel a obtenu leur soumission. Cette domestication des travailleurs s’est accompagnée du développement d’une culture de masse. Elle se définit comme un ensemble d’œuvres, d’objets et d’attitudes, conçus et fabriqués selon les lois de l’industrie, et imposés aux humains comme n’importe quelle autre marchandise. L’impuissance et la malléabilité des masses s’accroissent en même temps que les quantités de biens qui leur sont assignées. A partir du moment où le salariat s’étend à une majorité de la population, les dominants ne peuvent plus se contenter uniquement des rapports de force bruts. A ceux-ci, toujours nécessaire en dernier recours, s’ajouter la fabrication du consentement.

Au cours du XXe siècle, les modes de vie se sont uniformisés et l’imaginaire de la société de consommation s’est répandu sur toute la planète. Dans un même mouvement, le capitalisme désenchante le monde, détruit toute forme d’autonomie et d’authenticité tout en favorisant les intérêts d’une minorité. La culture de masse est un élément essentiel de la reproduction de la société dominante. Le divertissement a pris de telles proportions qu’il menace les racines anthropologiques d’une civilisation. La lutte contre le divertissement n’est pas marginale ou périphérique. Lutte de classe et contestation culturelle doivent donc aller de pair.
Quelques extraits du livre :

1/4) Cassez vos écrans ; la spectacularisation du monde


Pour qu’il y ait culture, il faut une hiérarchisation, une mise en ordre des savoirs. Les écrans sont le contraire de l’éducation, il n’y a aucun cheminement cohérent, c’est le désordre mental. Ils permettent la diffusion, non la constitution des savoirs. Les activités de réflexion supposent l’abstraction, donc, à un moment donné, l’absence d’images. La pensée prend du temps alors que l’écran fait vivre dans l’immédiateté.

Avec la télévision, l’image nous fixe et nous fige. Avec la radio, on peut continuer à bouger, à travailler, ce que l’image ne permet pas. Regarder la télé, c’est être immobilisé. La journée, c’est de plus en plus l’œil qui fait l’essentiel. Le corps est peu sollicité, assis au travail, assis dans les transports, assis devant la télévision.
C’est un phénomène nouveau pour l’humanité dont on ne sait quelles seront les conséquences physiques et neurologiques. Mais imaginons un extraterrestre qui débarquerait sur terre et qui verrait le soir à 20 heures des millions de personnes assises devant une source lumineuse. Il dirait : « C’est comme dans une Eglise, nous sommes en présence d’un culte religieux. » Le terme de dépendance est imprécis, mais il capture l’essence d’un phénomène bien réel : le nombre d’heures que les gens passent à regarder la télévision est stupéfiant.
Tous les messages d’une émission télé ou d’un film sont retravaillés pour que la lecture soit le plus simple possible. Nous sommes face à un appauvrissement de la communication. Lorsque je regarde la télé, ma conscience devient alors celle des instants successifs qui défilent à l’écran, d’où cette capacité à vider l’esprit. Avec des électrodes, on peut mesurer les ondes électriques produites par le cerveau en activité. Quand il y a baisse d’activité cérébrale, on peut l’identifier grâce à l’émission d’ondes alpha. Or, quand on regarde la télé, on constate une baisse d’activité cérébrale. L’appareil lui-même nous met dans un état réceptif passif. Les publicitaires disent que le téléspectateur est dans un état réceptif de quasi-sommeil, et qu’eux, les publicitaires, fournissent en quelque sorte les « rêves ». Le message de la télévision est la télévision, elle devient une fin en soi, indépendamment de ce qu’on y regarde. La télévision est donc une aliénation au sens étymologique du mot, le fait de se « rendre étranger à soi-même », d’être dépossédé de soi. On n’aliène jamais mieux autrui qu’en lui rappelant sa liberté. Il ne peut pas y avoir de bonne télévision, socialement non-aliénante. Mais pour les jeunes, la télé n’a que des aspects positifs. Un questionnaire sur le modèle de ceux faits par les psychiatres pour savoir s’il y a un problème de dépendance a été distribué en lycée. Des questions comme : « Combien de temps passez-vous devant la télé ? » ; « Est-ce que vous vous endormez devant la télé ? » ; « Est-ce que dès fois vous regardez n’importe quoi à la télé ? » Et dernière question : « Est-ce que vous estimez que vous êtes accros ? » Certains répondaient qu’ils regardaient la télé cinq heures par jour, ils répondaient oui à tout. Et : « Non, je ne suis pas accro » ! Le vertige que procure les outils techniques comme la télévision ou le portable empêche l’individu d’exister par lui-même.
Internet devient la concrétisation matérielle d’une culture qui n’est plus, comme jadis, fédératrice de collectifs autonomes maître de leurs conditions de vie. Il est créateur d’individus atomisés. Un site web reliant des individus sans pratiques quotidiennes communes ne peut donner lieu qu’à une communauté virtuelle et à une opposition illusoire. Les analystes les plus naïfs fantasment l’émergence de la « blogosphère » comme l’avènement d’un nouvel espace démocratique alors même que l’enjeu réel qui préoccupe les technocrates est précisément de faire asseoir l’humanité entière devant un écran.
Le fantasme qui hante la société du numérique n’est autre que celui de sa propre finalité : plus aucune obligation sociale, puisque les technologies font écran (au sens propre) entre les individus ; plus aucune attache à autrui, puisque toute relation est susceptible d’être annulée par un simple « clic ». Le fantasme ultra-libéral ne vise rien d’autre que la fin du politique, c’est-à-dire la fin du « vivre ensemble », condition même de toute sociabilité, mais aussi de toute lutte émancipatrice. Le discours contemporain nous fait croire qu’être libre revient à faire ce que l’on veut, quand on veut, indépendamment de toute considération éthique ou politique. Tout au contraire, espérer être libre implique d’avoir conscience de ses chaînes, et non de vivre comme si elles n’existaient pas.

2/4) Homo publicitus ; une domestication quotidienne


L’histoire de la publicité est relativement récente et découle de l’évolution d’une société industrielle. Les premières agences de publicité apparaissent à la fin du XIXe siècle, lorsque la Révolution industrielle vient modifier en profondeur les rapports sociaux. La production de masse et le développement des grands centres urbains rendent nécessaire la mise au point de nouvelles techniques pour mettre en relation producteurs et consommateurs. En France, Emile de Girardin, le fondateur du quotidien La Presse en 1836, est le premier à vendre des espaces de son journal à des annonceurs.

La multiplication des panneaux, affiches et enseignes, injonction permanente à l’acte d’achat individuel, permet d’étendre le contrôle social bien au-delà de l’usine. Jules Arren est le premier Français à écrire un manuel de publicité en 1912. L’Ecole technique de publicité est créée en 1927 sur l’initiative d’annonceurs. Mais le véritable bond en avant de la publicité se fait après la seconde guerre mondiale, avec l’arrivée dans les foyers de la télévision. L’Angleterre, l’Italie et la Suisse autorisent rapidement la diffusion de spots télévisés. En France, il faut attendre 1968 pour que le gouvernement Pompidou, prétendant vouloir adapter l’économie française à ses concurrentes européennes, autorise la diffusion des premiers spots (limitée initialement à 7 minutes par jour) sur une chaîne nationale. Aujourd’hui, comme l’a rappelé Patrick le Lay, président de TF1, « Nos émissions ont pour vocation de rendre disponible le cerveau du téléspectateur, c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-cola, c’est du temps de cerveau humain disponible. » (Le Monde du 11-12 juillet 2004)

On n’aliène jamais mieux autrui qu’en lui rappelant sa liberté. Affirmer dans chaque slogan publicitaire la liberté de choix des consommateurs, c’est vouloir faire coïncider une production industrielle décidée à l’avance avec les envies de chacun. Le schéma classique du besoin qui porte vers l’objet s’est renversé, les objets génèrent des désirs qui, à leur tour, créent des besoins. Le désir d’objet a pris le pas sur le désir d’être. La publicité est le fleuron le plus abouti de l’arsenal capitaliste de domestication. Plus question de rêver au « grand soir », car l’important est de vivre cette vie cool et branchée vantée par telle marque de chaussures ou de boissons gazeuses. Le discours publicitaire joue constamment sur l’idée de rupture. Or, il ne s’agit pas ici d’une rupture collective avec l’ordre établi, mais d’une rupture individuelle manipulée au sein d’une société en perpétuel mouvement. Tout acte de contestation est transformé en spectacle par la publicité, et par là même dépolitisé. Les utopies politiques meurent, assassinées et remplacées par l’individualisme grégaire de la consommation publicitaire. Penser la contestation anti-publicitaire, c’est donc penser la lutte anticapitaliste.
L’industrie et la publicité se présupposent réciproquement. Une société qui produit le nécessaire pour vivre n’a bien sûr pas besoin de publicité. La publicité transforme le niveau de vie des gens, elle les persuade par exemple qu’il vaut mieux acheter des soupes en boîte que les faire soi-même, ingurgiter des boissons gazeuses plutôt que boire de l’eau, se déplacer en voiture plutôt qu’en vélo. La publicité, vecteur de toutes les innovations, apparaît dès lors comme une machine de guerre contre les traditions culturelles d’autonomie populaire. Il en résulte une société où les producteurs ne consomment jamais ce qu’ils produisent et où les consommateurs ne produisent jamais ce qu’ils consomment. Il y a une perte totale d’autonomie vis-à-vis du système social. Ce n’est plus le client qui va sur le marché chercher les biens dont il a besoin, auprès de commerçants qu’il a appris à connaître, ce sont des commerciaux invisibles qui traquent les consommateurs jusque chez eux pour leur inoculer les besoins nécessaires à la reproduction du capital. Il faut que le prolétaire achète, non plus pour satisfaire ses besoins primaires, mais pour satisfaire les exigences historiques de la machine capitaliste. Les techniques publicitaires de la grande industrie américaine sont tellement impressionnantes qu’en 1932 Goebbels, le propagandiste d’Adolf Hitler, déclarait vouloir employer « des méthodes américaines à l’échelle américaine » dans sa propagande.
Les gens ne perçoivent que les pubs prises isolément sans voir que l’ensemble forme un discours en réseau qui programme ce qu’on pourrait appeler un mode d’emploi de la vie, ce que François Brune appelle le « bonheur conforme ». Ce bonheur est structuré par l’idéologie de la consommation. La publicité est totalitaire à deux niveaux. D’abord elle coupe tous les espaces et le temps, elle est omniprésente dans la cité. La publicité est aussi totalitaire dans sa conception de l’être humain. Elle prétend répondre à tous les aspects de l’existence : le bonheur relationnel, l’engagement citoyen, la dimension spirituelle. Elle est une main mise sur toutes les valeurs traditionnelles, valeurs pourtant en opposition avec la consommation. Les pubs prônent la révolution tous les matins, elle prétend occuper tout le champ humain. Le discours publicitaire ne connaît pas la négativité, il s’est débarrassé du principe dialectique qui veut qu’au sein de tout discours travaillent des forces antagonistes. En récupérant toutes les autres formes de discours, la publicité se présente comme le régulateur de toute communication qu’elle soit marchande ou non marchande. Le langage publicitaire est donc éminemment politique, il détourne le politique, il finit par le remplacer. Il n’est donc pas surprenant de voir l’imagerie révolutionnaire détournée à des fins mercantiles. L’image de Che Guevara, de Gandhi ou l’iconographie soixante-huitarde sont pillés ou parodiés pour servir les intérêts de la grande distribution. La publicité s’affirme ainsi comme seule projection possible d’un avenir radieux.
Ce qui la différencie des totalitarismes d’antan, c’est qu’il est moins brutal, beaucoup plus insidieux. La publicité cultive ce que René Girard a défini comme « désir mimétique » : je dois désirer ce que l’autre désire. Avec la télévision et les médias de masse contemporains, tout le monde regarde les mêmes choses, et tout le monde apprend à désirer, ou pire encore, percevoir les mêmes facettes du monde moderne. Privés de singularité, les individus cherchent à se singulariser par les artefacts que leur propose le marché. L’individu devenu segment de marché, la conscience transformée en enjeu commercial, les sociétés contemporaines voient s’ouvrir l’horizon d’un monde devenu à la fois rationnellement et pulsionnellement totalitaire. Le système publicitaire divise la société en deux groupes distincts, entre émetteurs actifs dotés des pouvoirs économiques et politiques, et récepteurs passifs chargés de consommer à outrance. Comme le disait Adlous Huxley, le principe de stabilité sociale consiste à faire désirer aux gens ce qu’on a programmé pour eux. C’est exactement ce que fait la publicité, elle nous enferme dans une cage.
Une cage ne se partage pas, elle se saccage. La lutte antipub est bien une lutte à part entière et non une parenthèse entre deux luttes sociales « sérieuses ».

3/4) On hait les champions ! Contre l’idéologie sportive


L’analyse de Jean-Marie Brohm

Les philosophes de l’école de Francfort avaient soutenu que le capitalisme produit des modes de comportements compétitifs, dont le sport est le modèle paradigmatique. En septembre 1968, on a sorti un numéro spécial de la revuePartisans, « Sport, culture et répression ». On expliquait que le sport est une structure politique d’encadrement des masses, et notamment de la jeunesse, un moyen de contrôle social que le fascisme a porté à son comble. On s’est heurté à la fois au parti communiste, qui défendait le sport dit socialiste, et à la bourgeoise gaulliste, qui souhaitait produire des champions. Le sport est une superstructure idéologique, pour parler comme Marx, qui a pour fonction de reproduire les rapports de production, de conformer les gens à la compétition de tous contre tous, à la servilité, l’aliénation et l’acclamation des héros. Le sport a la vertu de dissimuler sous son côté anodin, bon enfant, populiste, ses fonctions politiques réactionnaires. Le sport est un phénomène de manipulation de masse utilisé par la télé, la publicité, le discours politique.
Le sport est la compétition institutionnellement réglée dans le cadre de fédérations, de clubs ; c’est une institution de la compétition généralisée, au niveau local, national et international, avec ses règlements, ses techniques codifiées, ses contraintes bureaucratiques. Lorsque tu as dix ans et que tu entres dans un club, tu passes d’un échelon à un autre dans un système hiérarchisé dont l’objectif et de produire des champions d’Etat ou des mercenaires sponsorisés. Cela n’a rien à avoir avec la possibilité que nous avons de nager, de nous balader dans la nature ou de jouer au ballon sur la plage.
La quasi-totalité de la gauche politique pense que le capitalisme a détourné le sport mais que, dans son essence, il serait pur, éducatif et sain. C’est une mystification absolue. Les excès du sport sont la nature même du sport. Le sport rouge était lié à l’appareil d’Etat soviétique. Le sport « travailliste » prétendait faire un sport différent, ouvrier, associatif. C’est du flan. Ils font des compétitions comme les autres avec des arbitres, les mêmes règles sportives, et tôt ou tard les gens se foutent sur la gueule. C’est toujours la violence de la compétition qui s’impose. D’autant que les enjeux financiers accroissent cette violence : « Il faut absolument gagner ». Cet impératif, lié aux cadences infernales, conduit au dopage et aux manipulations génétiques.
Comment des militants peuvent-ils oublier
que le sport a un effet politique massif de diversion, d’illusion et d’abrutissement de la classe ouvrière, C’est une manière de redoubler l’aliénation capitaliste. La corruption gangrène le football professionnel, des matchs sont truqués à travers des mafias qui organisent des paris clandestins, etc. Les supporters le savent, mais ils ne veulent pas briser le rêve. C’est très exactement ce qu’on appelle l’aliénation, ce qu’Engels a appelé la fausse conscience : la conscience d’un monde qui fait croire mensongèrement que le football, c’est du jeu, la liberté, la culture… Mais l’ethnologie montre que celui qui critique les mythes est banni, car ceux-ci permettent de renforcer la cohésion sociale.
Autres analyses :
Selon Fabien Ollier, le sport rouge n’a fait que participer à la stratégie de développement du capitalisme et de son hypertrophie, le fascisme. D’ailleurs ce n’est pas un hasard si la première volonté sportive du PCF est institué par Jacques Doriot. Fanatique, viril, autoritariste, disciplinaire et sportif convaincu, celui qui deviendra le chef incontesté du parti populaire français donne à la FST (section de l’internationale rouge sportive des années 1920) tous les traits qui caractérisent ce que Wilhelm Reich nommait le « fascisme rouge ».
Selon Bourdieu, l’activité physique ne devient sportive qu’à partir du moment où « s’est constitué un champ de concurrence à l’intérieur duquel s’est trouvé défini le sport comme pratique spécifique, irréductible à un simple jeu rituel ou au divertissement festif ». Le sport s’autonomise en tant que champ spécifique dès le XIXe siècle, selon les vecteurs de constitution d’un champ : construction d’enjeux qui lui sont internes, création de carrières professionnelles, mise en place de structures sociales, d’événements spécifiques, etc. Ce qui fait le sport aujourd’hui, ce n’est pas tant qu’il y ait des ballons et des gens pour courir derrière, mais bien plutôt qu’il existe des cours d’EPS, des clubs, des fédérations, des compétitions, des athlètes, etc. Les origines du sport sont marquées : le passage du jeu au sport s’est accompli dans les grandes écoles réservées aux élites de la société bourgeoise, là où les enfants des familles de l’aristocratie et de la grande bourgeoisie ont repris un certain nombre de jeux populaires pour constituer un corpus de règlements spécifiques et d’un corps de dirigeants spécialisés. L’athlétisme, le football, l’aviron, le tennis et la gymnastique ont été inventé par la bourgeoisie pour son propre divertissement et pour former le caractère de ses futurs chevaliers de l’industrie et de l’empire. Aujourd’hui le rôle du sport est de quadriller et de discipliner les masses. Coubertin l’explique clairement : « Pour que 100 se livrent à la culture physique, il faut que 50 fassent du sport. Pour que 50 fassent du sport, il faut que 20 se spécialisent, il faut que 5 soient capables de performances étonnantes ».

4/4) L’horreur touristique ; le management de la planète


Autrefois le voyageur cherchait l’hospitalité, maintenant le touriste paye le gîte. Autrefois on partait à l’aventure, maintenant on suit un itinéraire standardisé. Le touriste est désormais captif d’un tissu serré de prestations, étapes obligatoires, gestes monnayés, mise en scène de paysages. Nous vivons sous le signe de la mise en production du monde, un management du tourisme. Les campagnes publicitaires des organisateurs de séjours de vacances s’appuient essentiellement sur le sentiment d’évasion et ses délices. Il s’agit d’inviter à venir jouir de la « pureté » de la nature ou des humains pour ressourcer l’Occidental. C’est bien là la subtilité ; vendre de l’aventure organisée est l’exact contraire de l’aventure, pourtant l’illusion demeure. Le tourisme accompagne l’essor des moyens de transport et la diffusion du mode de vie occidental.

Il est bien un phénomène total étroitement lié à une société prédatrice. Le tourisme est une activité vacancière foncièrement attachée à la mobilité. Le développement des transports n’a pas seulement augmenté la vitesse des transports et la distance parcourue, mais aussi leur fréquence, multipliant ainsi les impacts écologiques du tourisme.

Au XVIIIe siècle, les jeunes riches Anglais font leur grand Tour de l’Europe. Son industrialisation date de la création de la première agence de voyage par Thomas Cook en 1841. En France, les premiers congés payés de 1936 vont permettre aux ouvriers de découvrir la mer. Les années 1970 et 1980 voit la distance des destinations s’agrandir et l’usage des transports aériens croître. L’industrie se structure, multiplication des guides, créations de clubs de vacances et d’infrastructures. Le tourisme devient un produit de consommation comme un autre. C’est même devenu la première activité économique mondiale devant le pétrole et l’automobile. Il emploie 200 millions de personnes, soit 8 % de l’emploi mondial. La France reste la première destination touristique mondiale ; le nombre de touristes étranger venus visiter la France est passé de 79 millions en 2008 à 74 millions en 2009 (secrétaire d’Etat chargé du tourisme, mardi 11 avril 2010). A mesure que s’étend le mode de vie occidental, le tourisme se développe. En Chine par exemple, les voyages à l’intérieur du pays explosent et de nombreux Chinois visitent le monde. Les personnes âgées voyagent aussi de plus en plus, elles pèsent énormément dans l’industrie touristique. Le trafic aérien explose alors qu’il s’agit du mode de transport le plus nocif qu’il soit pour le système climatique planétaire, à la fois par les quantités de gaz à effet de serre qu’il émet et par le fait que ces gaz sont émis directement dans la haute atmosphère, là où ils contribuent le plus à l’effet de serre. Mais l’industrie touristique, plus soucieuse des profits à engranger que de l’épanouissement de la vie ou de la protection de la planète, voit surtout dans la hausse des températures et l’émiettement des glaces du pôle la possibilité de nouveaux profits.
Le loisir conforte le travail, il permet d’y revenir détendu, reposé, défoulé. Nous voici prêt, de nouveau, à nous vendre à fond à notre activité productive, celle qui finance, justement, la gamme plus ou moins étendue de nos loisirs. Le tourisme est une compensation thérapeutique permettant aux travailleurs de tenir la distance. Avec les pénuries probables de carburant, le management du monde trouvera la solution : il donnera du signe en place et lieu d’une réalité. On nous vendra du virtuel, de l’espace de synthèse. Cela a déjà commencé. Notre époque est réduite au culte du divertissement plutôt qu’à la culture de la diversité.

Le point de vue de Bernard Charbonneau (Le jardin de Babylone, 1967)

Ce qui rend les voyages si faciles, les rend inutiles. Parce que l’individu moderne aime la virginité, s’il y reste un lieu vierge, il s’y porte aussitôt pour le violer ; et la démocratie exige que les masses en fassent autant. Comme le goût de la nature se répand dans la mesure où celle-ci disparaît, des masses de plus en plus grandes s’accumulent sur des espaces de plus en plus restreints. Aujourd’hui sites et monuments sont plus menacés par l’administration des masses que par les ravages du temps. Et il devient alors nécessaire de défendre la nature contre l’industrie touristique. Alors il faut réglementer, et de plus en plus strictement, le camping, la cueillette des fleurs, etc. Le besoin d’un libre contact avec la nature perd sa raison d’être. A quoi bon fuir la ville, si c’est pour se réveiller dans un square, sous le regard d’un gardien ? La nature se transforme en industrie, et le groupe de copains en administration hiérarchisé dont les directeurs portent le pagne ou le slip comme d’autre le smoking. L’avion fait de Papeete un autre Nice ; les temps sont proches où, si l’on veut fuir les machines et les foules, il vaudra mieux passer ses vacances à Manhattan ou dans la Ruhr.
Il fallait des années pour connaître les détours d’un torrent, désormais manuels et guides permettront au premier venu de jouir du fruit que toute une vie de passion permettait juste de cueillir ; mais il est probable que ce jour-là ce fruit disparaîtra. L’opposition de l’indigène et du touriste apparente la station balnéaire à la société coloniale. Les envahisseurs établissent d’abord une tête de pont sur la côte. Ils en expulsent les habitants en leur achetant au mètre les propriétés rurales qui se vendaient à l’hectare. Ensuite ils progressent le long des côtes et vers l’arrière-pays en suivant les routes qu’ils ont fait asphalter pour leurs colonnes motorisées.
Les peuples, leurs mœurs et leurs vertus sont anéantis par le tourisme par avion plus sûrement encore que par l’implantation d’un combinat sidérurgique.
Ce qui naît de la ville et de l’industrie est réintégré par l’industrie et la ville. La nature se transforme en industrie lourde dont l’avion est le sinistre messager.
(Offensive, éditions de l’échappée 2010)
publi 3-4Vers un nouveau paradigme
2012 et aprés

Rebondissement officiel dans l’affaire vaccin-autisme

Jeudi 21 juin 2012421/06/Juin/201207:29
cover vendeur-journauxLe gouvernement américain reconnaît l’existence d’un lien entre autisme et vaccination. Le cas d’espèce soumis aux autorités de santé crée un précédent inédit.
Le 21 juin 2007, la ligue nationale pour la liberté des vaccinations retenait notre attention sur le procès collectif vaccinal en instance devant la Cour fédérale des Etats-Unis. Depuis lors, la polémique ne s’est pas essoufflée. Bien au contraire, l’Etat fédéral dans un réquisitoire net et précis conclut à un lien de causalité avéré entre vaccinations infantiles et autisme chez une petite fille de 9 ans, Hannah Poling.

Cet aveu sans précédent est une réponse aux allégations d’une seule famille selon lesquelles des vaccins contenant une forme de mercure, le thimerosal, auraient provoqué l’autisme de leur fille.
Il résulte du dispositif du jugement que l’enfant Hannah Poling était en bonne santé et s’était développé normalement jusqu’à ses 18 mois. Qu’à cet âge l’enfant avait fait l’objet d’un examen médical à domicile où lui furent injectées en même temps 9 vaccinations, dont 2 contenaient du thimerosal. Que, 48 heures après, Hannah tomba malade. Que, trois mois plus tard, la jeune fille commençait à régresser et que les signes de l’autisme apparaissaient.

Selon le département de la justice qui représente le gouvernement auprès de la Cour fédérale, « les injections vaccinales ont significativement aggravé un désordre interne et provoqué le syndrome de l’autisme » chez au moins un enfant, Hannah Poling. Devant cet état de fait, le département américain de la santé a déclaré que la famille d’Hannah, au vu du préjudice subi, pouvait prétendre au fonds fédéral d’indemnisation des victimes de vaccinations [The US Division of Vaccine Injury Compensation]. [1]
Faut-il le rappeler qu’à ce jour près de 5 000 familles d’autistes sont en attente de jugement auprès de la Cour de justice fédérale. De toute évidence, d’autres parents ont vécu des événements comparables à ceux d’Hannah Poling ; enfants en bonne santé auxquels on administra des vaccins et qui assez subitement devinrent absents, devenant incapables de s’exprimer tout comme auparavant.

S’il subsiste quelques doutes quant à l’implication du thimerosal comme facteur explicatif déterminant aux nombreux cas d’autisme, il est en revanche très bien établi que l’exposition au mercure provoque des troubles immunitaires, sensoriels, neurologiques, moteurs... toutes similitudes généralement associées à l’autisme. Fautes d’études internationales toutes concordantes, le bon sens ne devrait-il pas alors l’emporter ?
En outre, le mercure est un produit dangereux de la classe 6 qui regroupe, en particulier, les substances pouvant causer une intoxication en cas d’introduction ou d’accumulation spontanée d’un poison dans l’organisme d’après les normes européennes en vigueur régissant le traitement des matières dangereuses [TMD].

Pour le Dr Miller, professeur en cardiologie à l’université de Washington School of Medicine [2], « il est probable qu’un autre facteur important entre en jeu, c’est l’existence d’un effet démultiplicateur de la toxicité. En effet, l’incidence du mercure s’accroît de façon "quasi exponentielle" en présence d’un autre poison. Un essai expérimental a démontré qu’une dose infime de mercure pouvant tuer 1 rat sur 100, et une dose d’aluminium produisant le même effet sur le rongeur, aboutissait à un résultat saisissant quand on les combinait : aucun rat n’en sort indemne. Or, certains vaccins contiennent de l’aluminium. On comprend dès lors mieux la nocivité de certains adjuvants pour l’homme ».

Quelle sera l’implication de ce précédent jurisprudentiel pour le débat vaccin-autisme ? [2]
Avec cet aveu gouvernemental, il sera difficile de maintenir une stratégie officielle qui consistait à nier de manière catégorique tout lien entre vaccination et autisme. Le gouvernement va devoir repenser sa stratégie au procès judiciaire, de la même manière qu’il devra exposer au public de nouveaux motifs justificatifs à une énième campagne vaccinale.
L’autisme a-t-il pour autant décliné depuis que le thimerosal a été retiré de certains vaccins ? [3]
Le thimerosal a été subitement retiré de la préparation de nombre de vaccins après l’an 2000. En 2006 les données statistiques de deux Etats américains montrent que les cas d’autismes ont grimpé simultanément à l’augmentation aux doses de thimerosal « prescrites ».

Cependant un article du Times Magazine affirme que les cas d’autismes ont continué d’augmenter aux Etats-Unis malgré le retrait du thimerosal des vaccins. Pourquoi cette divergence ?
Une explication sérieusement envisagée provient d’un choix de politique de santé du gouvernement américain. En 2002, les autorités recommandèrent pour toute la population la vaccination anti-grippale pour les enfants de moins de 2 ans, avant d’étendre cette recommandation pour tous les mineurs. Or, en l’état actuel, le vaccin antigrippal contient toujours du thimerosal, tant et si bien qu’une large population d’enfants est toujours exposée à une éventuelle intoxication au mercure.
Quels sont les autres facteurs assez récents susceptibles d’expliquer la hausse rapide d’enfants atteints d’autisme ?
1 enfant sur 150 est atteint d’autisme aux Etats-Unis selon le centre de contrôle et de prévention des maladies [The CDCP]. « Nous devons reconnaître que c’est un fléau national », a déclaré un des représentants Jon Poling. L’affaire est devenue suffisamment préoccupante pour que sénateurs et députés américains expriment leur inquiétude.
Le favori républicain à la présidence, John MacCain, exprima, pendant la campagne des primaires, ses « fortes raisons de craindre que les conservateurs contenus dans les vaccins ont engendré la dramatique ascension de l’autisme à travers le pays ».
De toute évidence, si une faible proportion de malades déclenche un syndrome génétique, dû à une réalité constante, bon nombre d’autismes, aujourd’hui, sont causés par des expositions à des produits toxiques et chimiques (par injection, ingestion, inhalation...), et proviennent globalement de facteurs environnementaux.
Prenons note notamment de l’étude publiée en novembre 2007 dans le Journal of the Australian College of Nutritional § Environnemental Medecine, qui établit que les ondes électromagnétiques de hautes fréquences, tels antennes relais, téléphones portables, WI-FI, seraient l’un des facteurs à même de déclencher l’autisme.

[1] The Atlanta Journal-Constitution
[2] Mercury on the Mind
[3] Organic Consumers Organization
Antennes Dangers
Action santé libertés
Santé volée
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/rebondissement-officiel-dans-l-39106
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