jeudi 29 novembre 2012

Une Cité enfouie sous le plateau de Gizeh

Dimanche 25 novembre 2012725/11/Nov/201214:43

Témoin gênant d une civilisation très avancée


Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg. De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, lacs et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité. L’information relayée par les médias jusqu»en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.

L histoire oubliée des pyramides

Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères. Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.

Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.1 Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”. Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer. Selon les prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :

Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, etait entourée d’une colonnade. Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés animauxdont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterraines la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine (op.cit. “Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Egypte et en Nubie, 1757, page 152 du chapitre précédent). Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.

Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx : 2
Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée. Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.

Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”. Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.

La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la “tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor” et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus”. Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide.3

Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.

Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve. Il rapporte l’épisode suivant :
A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.

Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”. Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.

Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”. Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis”. Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre”. C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues”.
Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.

Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis. Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993. La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé “Le Mystère du Sphinx”, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre :

Mystérieux Tunnel dans le Sphinx :

Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux. Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.4

L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile. Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans “une salle secrète au-dessous du sol” et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.

Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du livre.)
En 1935, la connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal. Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.

Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs. Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour. Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau. Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles. L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.

De gros titres d actualités

Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères Egyptiens, la tradition enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Egypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé intérieur. Elles n’avaient de cesse de prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du rituel initiatique.
Selon les traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des passages souterrains. On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi. Peu à peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).
En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées. Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte. Il déclarait : Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales.
A peu près au même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte. Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus tardive et superficielle. Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années.
Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée. Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.
Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de “Tombeau de Campbell”, sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et “ce complexe”, dit le Dr Selim Hassan, “se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.” Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut.
La découverte avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.
Elle fut appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”. Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds… Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif.
Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme “un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep.” Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue. L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide. Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence. On peut en conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC), connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh. Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques. Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu). La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.
Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception”5 fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide). Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).
On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues. Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut “profondément impressionné” par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude hors d’Egypte.
Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides. Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux.
Les archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce qu’ils avaient sorti de terre, une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments y compris un palais. Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines son parfait système de drainage rivalise avec d’autres équipements modernes. L’intrigante question qui en découle est : où est aujourd’hui cette cité ?
Son emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.
L’expédition fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques et circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large. La cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne. On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire. D’après les récits d’habitants “vivant sous Terre”, relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal. On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. Au départ, il était prévu de présenter les séquences au grand public, mais, pour certains motifs, cela fut différé.
Un objet sphérique en cristal, à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence récente en Australie. Profondément à l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande. Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse.
Des recherches historiques du 20ème siècle relatent de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide. En 1964, on découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume turc de Cappadoce. Une seule de ces cités contenait d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues estiment avoir appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions d’existence à 8.000 ou 10.000 personnes. Leur existence même prouve de façon évidente que beaucoup de mondes souterrains attendent d’être découverts sous la croûte terrestre.
Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement conçu dans sa totalité.

Démentis officiels

Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance. Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterrainnes de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les affirmations des Ecoles de Mystères furent mises en doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier les touristes. Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 :
Personne ne doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Egypte et d’Orient. Ces choses existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Egypte. Mieux vaut ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir. Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le Sphinx.
Cette ligne stratégique aurait pu suffir à contenir l’opinion intellectuelle mais des déclarations officielles démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées. L’affirmation que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public. Sur des sujets échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.

Lampes perpétuelles

En dépit de découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié. Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches ardentes car les plafonds ne sont pas noircis par des restes de
D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il est possible de d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à 12 étages. Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux “Constructeurs de Lumière”, et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs complexes.
Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh. Ils décrivirent leur expérience : Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage… les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brille de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non. Nous brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes (du mercure ?).
Au fil du temps, les tubes lumineux commençèrent progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau. Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer.
Une pratique courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à “l’autre rive”. Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique) , on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible. 6
Plus tard les Grecs et les Romains maintenirent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts. Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après plus de 2.000 ans. Il existe des preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus tard.
La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches d’arguments. Après avoir dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables.
De nombreuses autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173. Bien que les différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du combustible.
On pensait généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient ” laine de salamandre”. Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï. Plusieurs formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui “une fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix”.
Certains croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses.
Il existe en Egypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou plusieurs lampes. D’autres pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement dégagés. Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs. Il y eut quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non seulement en Egypte mais aussi en d’autres parties du monde.
Montfaucon de Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant brillamment dans une suspension au plafond. “Une statue en armure (un robot) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle.”7 Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.
Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot. Dans le centre de l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix. Un campagnard découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la flamme. On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable.



- NEXUS N°33 juil – aout 2004 -
Par Tony Bushby ” 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia.
Site web : http://www.joshuabooks.com

A propos de l’auteur.
Tôt dans sa vie, l’australien Tony Bushby devient un homme d’affaire et entrepreneur prospère. Il fonde une maison d’édition et consacre 20 ans à la recherche, écrivant et publiant ses propres revues, principalement pour les marchés australiens et néo-zélandais.

Animé de solides convictions spirituelles et d’un intérêt pour les sujets métaphysiques, Tony entretient de longues relations avec de nombreuses sociétés et associations à travers le monde. Il a eut accès à des très rares manuscrits dans les archives de nombreuses bibliothèques privées et de musées. Son livre The Bible Fraud (La Supercherie Biblique : voir Nexus France n°19, 20 et 21) lui coûta douze années de vie, une patiente recherche et d’importantes dépenses personnelles. Ses voyages l’on conduit en Egypte, au Moyen Orient, en Angleterre, au Pays de Galles, en Ecosse, en France, en Allemagne, en Belgique, en Italie, en Australie, en Nouvelle Zélande et aux USA. Son livre suivant et The Secret in the Bible fut publié fin 2003. Actuellement à l’étranger, il recherche d’autres manuscrits pour documenter ces livres. Désirant protéger sa vie privée, Tony Bushby demande que toute correspondance lui soit adressée via Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australie, tél. +61 7 5444 1971, fax +61 7 5444 1491. Des copies de The Bible Fraud et The Secret in the Bible peuvent être obtenues aux bureaux de Nexus, chez Jeshua Books et par le site web http://www.joshuabooks.com.
NP le nouveau paradigme

mercredi 28 novembre 2012

Révélations Maya: le documentaire qui prouve le lien extraterrestre devrait bientôt sortir!

Mercredi 28 novembre 2012328/11/Nov/201222:06
Le site archéologique de Tonina, au Mexique.

Dans un documentaire intitulé "Révélations des Mayas: 2012 et au-délà", le réalisateur Juan Carlos Rulfo va présenter des preuves "irréfutables" de l'existence des extraterrestres et des visites que ces touristes de l'espace ont rendues au peuple Maya. Le gouvernement mexicain et celui du Guatemala ont accepté de collaborer et de dévoiler des documents inédits.
Ils sont parmi nous! Ou en tout cas, ils sont venus et ont laissé des traces de leur passage.

Le documentaire que le réalisateur mexicain Juan Carlos Rulfo s'apprête à tourner risque de faire parler de lui. Le lauréat du festival de Sundance a en effet l'intention de prouver, images à l'appui, que les anciens Mayas ont accueilli des visiteurs venus de l'espace. Le film devrait notamment explorer le site maya de Calakmul, au sud-est du Mexique, et plusieurs sites au Guatemala voisin.
Le jeune producteur Raul Julia-Levy affirme, dans les pages du magazine hollywoodien Wrap, avoir rencontré plusieurs membres du gouvernement mexicain lors de la préparation du documentaire. "Le Mexique va dévoiler des textes, des objets et des documents importants, qui apporteront la preuve des contacts entre le peuple maya et les extraterrestres", a indiqué Raul Julia-Levy, dont les propos ont été repris par le quotidien britannique The Guardian. "Toutes ces informations seront authentifiées par des archéologues. Le gouvernement mexicain ne se contentera pas de déclarations. Tout ce que nous dirons (dans le documentaire, ndlr), nous le prouverons."

Sortie prévue quelques jours avant la fin du monde

Pour l'heure, côté mexicain, seul le ministre du tourisme de l'Etat de Campeche (dans lequel se trouve le site de Calakmul) s'est exprimé sur le sujet. Luis Augusto Garcia Rosado a confirmé, dans un communiqué, "les contacts entre les Mayas et les extraterrestres, prouvés par la traduction de certains textes que le gouvernement avait gardés en sécurité dans des souterrains durant un certain temps".
Le ministre évoque aussi l'existence de terrains d'atterrissage destinés aux engins spatiaux, datant d'au moins 3000 ans et découverts au fond de la jungle mexicaine. Il n'a toutefois donné aucun autre détail et s'est refusé à préciser dans quelle partie du pays se situaient ces aires d'atterrissage.

Le ministre guatémaltèque du Tourisme a, lui aussi, promis de collaborer pleinement au documentaire et de mettre à la disposition du réalisateur des preuves indéniables et inédites. "Le Guatemala a gardé secrètes certaines découvertes archéologiques incroyables", a expliqué Guillermo Novielli Quezada. "Il est temps maintenant d'intégrer rapidement ces informations au futur documentaire." Le président Alvaro Colom Caballeros aurait lui-même ordonné aux membres de sa coalition de collaborer activement au projet pour le "bien de l'Humanité".

Le film devrait sortir à l'automne 2012, quelques jours avant le redoutable 21 décembre. Certains "experts" affirment en effet que cette dernière date du calendrier maya marquerait en fait la fin du monde.

PIAB
RTBF.be
NP le nouveau paradigme

mardi 27 novembre 2012

L'astéroïde Toutatis sera au plus près de la Terre le 12/12/12

Mardi 27 novembre 2012227/11/Nov/201210:59
null

Toutatis, un gros astéroïde de 4,6 km de long sur 2,4 km de large en forme de cacahuète, fonce en direction de la Terre qu'il approchera le 12 décembre 2012, mais sans présenter de danger de collision, selon la NASA

C'est le plus gros objet céleste à passer aussi près de notre planète depuis sa dernière visite en septembre 2004;

C'est l'astronome Christian Pollas qui l' a découvert le 4 janvier 1989.

Cet astéroïde fait l'objet d'une surveillance rapprochée.


La trajectoire de Toutatis est la plus scrutée depuis plusieurs années par les experts de la NASA en raison de l'énorme danger que représenterait pour la Terre une collision avec un objet d'une telle masse.
Ils en ont conclu avec la plus grande certitude que Toutatis ne présenterait, tout au moins pendant 558 ans, aucun risque pour notre planète.

Il devrait passer à environ 6 000 000 de km. (mise à jour 27/11/12)

Toutatis effectue un trajet elliptique autour du soleil qui le conduit dans l'orbite terrestre avant de poursuivre sa route dans la ceinture d'astéroïdes.

Toutefois, selon la NASA, Toutatis a un comportement étrange pour un astéroïde puisqu'il effectue tout d'abord une rotation sur un axe en 4,5 jours terrestres pour ensuite se retourner et évoluer sur lui-même en 7,3 jours.


références:
nasa.gov
wikipedia
NOAA
Spaceweather

David Jarry©2012
NP le nouveau paradigme

Communiqué de la NASA de 1983 concernant la decouverte d'un objet massif

ardi 27 novembre 2012227/11/Nov/201216:18
Que penser de la déclaration de g. Neugebauer (chef astronome de la NASA) faite dans le Washington post du 30/12/1983 ?
nemesis star chart by killar zachary

Par Thomas o ' Toole, rédacteur attitré du Washington Post
Vendredi 30 décembre 1983

Un corps céleste probablement aussi gros que la planète géante Jupiter et probablement aussi proche de la Terre qu'il ferait partie de ce système solaire a été trouvé dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope en orbite à bord du satellite astronomique infra-rouge américain. L'objet est si mystérieux que les astronomes ne savent pas s'il s'agit d'une planète, d'une comète géante, d'une "proto étoile" proche qui n'aurait jamais été assez chaude pour devenir une étoile, d'une galaxie distante et si jeune qu'elle serait encore dans le processus de formation de ses premières étoiles ou d'une galaxie tellement enveloppée de poussière qu'aucune lumière émise par ses étoiles n'en pourrait sortir. "Tout ce que je peux vous dire c'est que nous ne savons pas de quoi il s'agit", a dit dans une interview le Dr Gerry Neugebauer, directeur scientifique du projet IRAS au Jet Propulsion Laboratory de Californie et directeur de l'observatoire du Mont Palomar à l'Institut de Technologie de Californie.

L'explication la plus fascinante concernant ce corps mystérieux, si froid qu'il n'émet aucune lumière et n'a jamais été vu par les télescopes optiques sur Terre ou dans l'espace, est qu'il s'agirait d'une planète gazeuse géante, aussi grosse que Jupiter et aussi proche de la Terre que 50 billions de miles. Alors que cela puisse paraître une distance énorme à l'échelle terrestre, c'est un jet de pierre à l'échelle cosmologique, en fait si proche qu'il s'agirait du corps céleste le plus proche de la Terre au delà de la dernière planète Pluton. "S'il était vraiment si proche, il ferait partie de notre système solaire", dit le Dr James Houck du Centre de Radio Physique et Recherche Spatiale de l'Université de Cornell et membre de l'équipe scientifique du projet IRAS. "S'il est si proche, je ne sais pas comment les scientifiques mondiaux en planètologie vont pouvoir le classifier."

Le corps mystérieux a été vu deux fois par le satellite infra-rouge alors qu'il balayait le ciel de l'hémisphère nord de janvier dernier à novembre, après que le satellite ait déversé l'hélium froid devant permettre au télescope de voir les corps célestes les plus froids. La deuxième observation eut lieu six mois après la première et suggéra que le corps mystérieux n'avait pas bougé de son emplacement dans le ciel près du bord ouest de la constellation d'Orion à ce moment-là. "Cela suggère que ce n'est pas une comète parce qu'une comète ne serait pas si grosse que ce que nous avons observé, et une comète aurait probablement bougé," dit Houck. "Une planète pourrait avoir bougé si elle était aussi proche que 50 billions de miles mais cela peut aussi bien être une planète plus éloignée qui n'aurait pas bougé en l'espace de six mois."

Quoi que cela soit, dit Houck, le corps mystérieux est si froid que sa température n'excède pas 40° au dessus du zéro absolu, qui est 459° Fahrenheit en dessous de zéro. Le télescope embarqué sur IRAS est refroidi si lentement et est si sensible qu'il peut "voir" des objets dans le ciel qui sont seulement à 20° au dessus du zéro absolu. Quand les scientifiques du projet IRAS virent pour la première fois le corps mystérieux et calculèrent qu'il pourrait être n'être qu'à 50 billions de miles de nous, il y eut quelques spéculations sur le fait qu'il pourrait se diriger vers la Terre. "Ce n'est pas un paquet cadeau qui nous est envoyé," dit Neugebauer de CalTech. "Je veux jeter de l'eau froide sur cette idée autant que je peux."
_______________________________________________________________________________________________

Cet article circule depuis de nombreuses années maintenant mais je n'ai rien pu trouver le confirmant ou le démentant sérieusement...!
Pourquoi la NASA ne dit rien au sujet de cet article? si quelqu'un peut apporter des informations supplémentaires cela permettrai d'avancer et de classer définitivement cet article comme vrai ou comme fake

Merci de vos témoignages
Amicalement
David Jarry©
NP le nouveau paradigme

lundi 26 novembre 2012

LA RÉVÉLATION DES PYRAMIDES : L'enquête qui change le monde

LA RÉVÉLATION DES PYRAMIDES : L'enquête qui change le monde
La révélation des pyramides, est un documentaire (1h48) sur une théorie relative à l'origine de la construction des pyramides de Gizeh, les corrélations, le rapport avec le nombre d'or et l'architecture, les autres sites archéologiques, l'hypothèse selon laquelle Khéops aurait été construite de façon à avertir les hommes dans le futur.


Le documentaire, en deux parties réunies, est basé sur le livre du même nom, de Jacques Grimault. Patrice Pooyard, le réalisateur du film, nous guide à travers les sites les plus anciens du monde et demande à différents experts pourquoi et comment les pyramides ont été construites, mais ce n'est que le début de l'histoire.
Jacques Grimault a passé 37 ans de sa vie à chercher les secrets des pyramides d'Egypte ainsi que des autres grands sites archéologiques du monde. "Comme tout le monde, je pensais que tout avait été dit concernant la grande pyramide de Gizeh, jusqu'au jour où je découvris que des faits inexpliqués restaient ignorés par l'égyptologie. Alors j'ai enquêté, sans a priori ni préjugés. Je voulais seulement comprendre comment la grande pyramide avait été construite, mais cette quête m'a mené au-delà de ce que je pouvais imaginer. Tout repose sur des faits, cette aventure conduit à travers le temps sur les sites archéologiques les plus énigmatiques de notre planète, aux confins de l'origine de notre civilisation, pour enquêter. Que vous adhériez ou non à ses conclusions, une chose est certaine, jamais plus vous ne regarderez notre planète du même oeil", dit-il.

Depuis des siècles, les pyramides fascinent l'humanité et régulièrement, de nouvelles théories les concernant viennent s'ajouter aux nombreuses existantes.
Cette théorie du message d'avertissement repose sur l'hypothèse que la grande pyramide du site de Gizeh, Khéops, renfermerait un message d'alerte qui nous préviendrait d'un cataclysme à venir tel qu'un nouveau déluge prévu par les cycles astronomiques.
Selon la théorie, les pyramides auraient été construites par une civilisation avancée qui aurait été anéantie suite à une catastrophe planétaire. Elle aurait construit les pyramides afin de résister aux cataclysmes en laissant derrière elle un avertissement aux civilisations futures pour dire que ceux-ci se produisent par cycles, et pour qu'elles soient capables de décoder cette mise en garde avant qu'il ne soit trop tard. Plus tard, les égyptiens auraient trouvé les pyramides et les auraient utilisé pour les tombeaux de leurs Rois. Ainsi et selon cette théorie, la grande pyramide de Khéops nous raconterait deux déluges passés et un à venir.

Les pyramides ne finissent pas d’étonner et de soulever des questions. On leur trouve un équilibre parfait et on peut y faire des constats troublants, mais on n’a pas retrouvé de documents écrits par les égyptiens explicitant l'utilisation du nombre d’or dans leur construction. Pourtant, en se livrant à des calculs dans la pyramide de Khéops, on retrouve bien le nombre d’or. Si certains ont voulu y voir plus qu’un simple hasard, d'autres sont plus sceptiques, voire sans réponse.
Les historiens considèrent que l'histoire du nombre d'or commence lorsque cette valeur est l'objet d'une étude spécifique. Pour certains, la détermination d'une figure géométrique contenant au moins une proportion se calculant à l'aide du nombre d'or suffit. La pyramide de Khéops devient, selon cette dernière convention, une bonne candidate.
La pyramide de Khéops a été scrutée et mesurée jusque dans ses moindres détails par des scientifiques issus de différents domaines, et ce, depuis le début du XIXème siècle. De ces mesures ont découlé de nombreuses théories imputant aux anciens égyptiens la volonté d'inscrire des propriétés mathématiques dans les proportions de l'édifice.
Les mesures sont exprimées en coudées égyptiennes. La pyramide avait ainsi, à l'origine, une base de 440 coudées et une hauteur de 280 coudées.

Le documentaire expose les recherches d'une personne mystérieuse cachée qui est à la base des déductions présentées de la théorie. Certains faits évoqués sont cependant troublants.
Quelle que soit votre appréciation sur ce film et surtout ses conclusions, il peut faire partie intégrante de toutes les théories plus ou moins bonnes et/ou crédibles sur les pyramides, ses légendes, puisqu'à notre époque, seules des hypothèses sont avancées sur ce sujet. Votre esprit d'analyse vous aidera à vous forger une opinion sur cette théorie du message d'avertissement.


>> A écouter, l'interview sur le documentaire :
LA RÉVÉLATION DES PYRAMIDES : Interview de Jacques Grimault et Patrice Pooyard

Comment échapper à la puce?

Lundi 26 novembre 2012126/11/Nov/201211:50

Aux grands maux les grands remèdes!
images-copie-3.jpg
Après avoir déjà tout enduré, nos contemporains accepteront les derniers outrages car ils estiment avec fatalisme qu’ils n’ont pas le choix. Déjà, on entend « ce n’est pas si grave ». Il n’y aura donc aucune révolte lorsque la loi nous imposera la puce. Alors, comment feront les derniers résistants pour passer à travers les mailles de la gestapo électronique qui sonne le glas de la liberté ?

D’abord, il faut comprendre d’où provient ce système de marquage identitaire. A l’origine, la carte d’identité nationale est une invention de la révolution française. L’individu devint alors un être identifié, répertorié, suivi, ne pouvant plus se déplacer, acheter, louer ou vendre sous le nom de son choix, ni passer une frontière sans être repéré. On voit combien le fichage « démocratique » de l’identité nationale a réduit la liberté individuelle.

La carte d’identité des révolutionnaires est la matrice du système d’emprise qui va se refermer dans un laps de temps qu’on ne peut pas encore préciser.

Les autorités évitent habilement de parler de cette invention liberticide, laissant aux allumés de la conspiration et aux écologistes le soin du dégazage préliminaire. On habitue en douceur les éléments rebelles, sans créer de vagues dans la population. Les opposants se répandent en pétitions vaines, s’épuisent dans le vide philosophique de la contestation par Internet, et finalement, puisque le danger n’est pas imminent, ils passent à une autre marotte.

Alors, lorsque le moment sera venu, la puce, banalisée et désamorcée, leur sera imposée dans le dos. Pour riposter, il faudrait être plus habile que le diable, ce qui n’est pas facile…

Lorsqu’on ne s’appuie pas sur un lobby, sur l’opinion publique ou sur les masses, la contestation est stupide. C’est le signe même de l’impuissance. Or, il faut agir. Mais y a-t-il une solution ?

Puisque notre identité nationale repose sur notre appartenance à la république française, il faut se demander si nous voulons continuer à appartenir à cette communauté politique et administrative ?

Plus largement, voulons-nous être des citoyens de l’ordre mondial dans lequel la république française est une simple région administrative ?

Or, les lois de la république comme celles de l’ordre mondial s’appliquent à tous les français et aux citoyens du monde entier. Dès lors, comment nous soustraire à l’une ou à l’autre, puisqu’ils sont fondus dans la globalité juridique internationale.

Vous contestez les lois de la république ? Vous refusez de vous soumettre à l’empucelage au nom de la liberté de conscience ? Fort bien. Il ne vous reste alors qu’à protester auprès des instances européennes et mondialistes, ce qui vous ramènera vite à la case départ.

Vous vivez à présent dans l’ordre mondial. Il est loin le temps où l’on pouvait émigrer pour échapper à une tyrannie locale.
La loi impériale internationale s’applique aux Papous comme aux fermiers de Lozère. Et la puce sera un instrument d’identification « démocratique ». On ne pourra pas y échapper par les voies légales.

Alors, comment sortir de l’enfermement ?

Il semble qu’il n’y ait aucune issue légale pour refuser de faire comme tout le monde dans le nouvel ordre mondial, sauf en dernier recours, l’objection pour raison religieuse. C’est la seule justification qui pourrait être recevable au plan juridique lorsqu’on observe les confessions qui ont fait accepter des dérogations pour incompatibilité cultuelle de leurs rites avec les lois laïques.

Ainsi, l’excision est officiellement interdite mais pas la circoncision. Les cantines de la république — qui ne privilégie personne — ne servent pas de porc aux musulmans.

Par de nombreux exemples, on voit que les religions ont obtenu des dérogations de taille, alors que la justice refuse la moindre entorse au citoyen isolé et récalcitrant.

Essayez de pratiquer la circoncision sur votre bébé à l’aide du silex rituel utilisé quotidiennement par les rabbins ! Vous verrez ce qu’en dit la direction des affaires sanitaires et sociales ! Mais vous pouvez tailler des prépuces à tour de bras si vous démontrez votre appartenance au judaïsme orthodoxe.

Essayez d’égorger un mouton dans votre baignoire pour la fête de l’Aït, sans être membre de la communauté musulmane ! Vous verrez ce qu’en disent les ligues de défense animale !

Partez errer librement à travers la France, confiné dans une roulotte avec cinq gosses non scolarisés ! Vous n’avez cette liberté que si vous êtes inscrit comme membre de la communauté gitane des « gens du voyage ».
Entretenez un harem de femmes, habillées comme des paysannes médiévales, auxquelles vous avez imposé le vœu de pauvreté, d’obéissance et de « chasteté » ! Vous aurez à vos trousses les média, les ligues de défense des droits de l’homme, sans compter les féministes. Mais si vous êtes organisé en congrégation religieuse, sous l’obédience de l’église catholique, alors faites ce que bon vous semble de ces femmes ! Vous pouvez les expédier dans des bordels pour missionnaires tout au fond de l’Afrique. Nul n’ira vérifier.

Des exemples de dérogation à la loi peuvent être trouvés dans les confessions religieuses, et également dans des communautés ethniques et idéologiques. Par exemple, les députés sont immunisés contre les conséquences de leurs actes délinquants — ce qui peut aller jusqu’à l’absolution pour crime ! Quand a-t-on entendu dire qu’un élu a été condamné pour viol ou pour meurtre ? Or, ces messieurs ne sont pas toujours que des petits voleurs de la nation !
Quand un médecin peut-il être accusé d’avoir empoisonné dix personnes entre le lever et le coucher du soleil, et d’en avoir envoyé au moins une par jour à la morgue ? Cela n’arrivera jamais car l’ordre des médecins le protège des tracasseries qui rendraient impossible le beau métier de charlatan patenté.

Il faut donc appartenir à un groupe représentatif et puissant pour se faire respecter. La république protège ceux qui savent se protéger d’elle. Par contre, l’individu isolé, qui n’est membre d’aucune loge, se sent bien esseulé lorsqu’on lui reproche le vol d’une pomme.

Comme nous ne pouvons prétendre obtenir un privilège découlant d’une déontologie professionnelle ou d’une assermentation -— à moins d’être politicien, juriste, médecin, ou haut fonctionnaire — il faut nous résoudre à faire valoir nos principes spirituels intangibles.

Si vous refusez de vous soumettre à une obligation légale que votre conscience réprouve, alors, faites respecter vos principes spirituels, si vous en avez.

Bien entendu, en ce qui concerne la puce ou les vaccins, ce n’est pas l’Eglise qui prendra votre défense car elle a choisi son camp. Quant à elles, les ligues des droits de l’homme vous riront au nez, et pire, elles vous poursuivront pour refus de comportement civique.

Il ne reste donc qu’une seule possibilité : il faut adopter une nouvelle identité -— religieuse et nationale — et faire respecter ce choix face aux autorités. On trouvera la méthode téméraire, mais il n’y en a pas d’autre.

Plutôt que d’attendre qu’on vienne vous marquer dans la chair et l’âme, sortez de l’ordre mondial ! Faites-vous enregistrer sur la dimension spirituelle par un acte de conscience, et rejoignez votre famille d’esprit. Choisissez votre camp !
Au début, cela paraît utopique, mais si l’on comprend qu’aux grands maux il faut de grands remèdes, alors tout devient possible. C’est un acte de conscience.

Extrait de Kali Yuga
C.R.O.M
Auteur: Joël Labruyère
NP le nouveau paradigme



dimanche 25 novembre 2012

ONDES DE CHOC (documentaire)

Dimanche 25 novembre 2012725/11/Nov/201220:45

Ondes de choc, est un documentaire (0h49) qui s'intéresse aux effets et propriétés des ondes de choc rencontrés dans la nature et dans différentes situations, accompagné d'images spectaculaires prisent au ralenti.

Les ondes de choc, phénomène reconnu depuis plus d'un siècle mais toujours imparfaitement compris, sont responsables du tonnerre qui accompagne la foudre, de la détonation des armes à feu ou des feux d'artifice, ou encore du souffle des explosions chimiques ou nucléaires. Ce ne sont pas de simples bruits violents, même s'il s'agit aussi d'ondes de pression. Dans le cas d'une onde de choc dans l'air, il s'agit de la transition brutale des différentes grandeurs d'état de température, pression et masse volumique, on parle de discontinuité. Au travers d'une onde de choc, la pression augmente, on parle de choc de compression. L'exemple peut-être le plus célèbre est celui de l'onde de choc créée par les avions supersoniques qui, en dépassant la vitesse du son de 340 m/s dans l'air à 15°C sous pression standard, voit une modification brutale de la température et de la pression.
Tout mouvement imposé d'une manière quelconque à un gaz peut s'interpréter en considérant une succession de petites perturbations qui se propagent à la célérité du son. Si leur intensité est suffisante, elles impressionnent nos oreilles.

Un mobile crée des ondes de choc lorsque sa vitesse devient supérieure à la célérité du son. En 1808, Siméon Denis Poisson résout les équations d'Euler sur le principe fondamental de la dynamique en mécanique des fluides, et trouve une solution discontinue vérifiant les conservations de masse et de quantité de mouvement. En 1876, Ernst Mach propose de vérifier la solution de Poisson, dont la réalité n'était toujours pas tranchée, en photographiant l'onde de choc produite par une balle de fusil. Il établit également le paramètre pertinent dans l'étude du problème, le célèbre nombre de Mach, rapport de la vitesse du mobile et de la vitesse du son.
On a pris l'habitude de schématiser le fonctionnement de l'onde de choc à l'aide d'un cône de Mach. Le cône de Mach est une image simplifiée mais pertinente d'une onde de choc réelle. Tant qu'un mobile infiniment petit se déplace à une vitesse inférieure à la célérité du son, les perturbations qu'il crée s'éloignent de lui dans toutes les directions. Lorsqu'il dépasse Mach 1, celles-ci se rangent dans un cône ayant le mobile pour sommet. Ainsi s'introduit une discontinuité, que l'on peut qualifier d'onde de choc, entre l'intérieur du cône perturbé et l'extérieur.

Le phénomène d'onde de choc est universel dans la nature. Mis à part le choc produit dans l'air par le passage d'un avion supersonique, notre planète est elle-même environnée d'une onde de choc à l'interface du vent solaire et de la magnétosphère terrestre. De manière plus générale, les chocs sont très présents dans les milieux astrophysiques. Ainsi, la connexion entre le vent solaire et le milieu interstellaire local est marqué par le choc héliosphèrique que les sondes Voyager 1 et Pioneer 10 viennent de traverser. De l'explosion de supernova aux sursauts gamma, tout un éventail d'objets pourraient tirer une partie de l'émission qu'ils produisent du fait de la dissipation d'énergie cinétique par les ondes de chocs.
Lorsqu'une particule nucléaire assimilable à un point se déplace plus vite que la lumière dans un milieu transparent, il se produit un phénomène tout à fait analogue à un cône de Mach. Il s'agit de l'effet Cerenkov.

Un fouet est fait d’une corde ou d’une lanière de cuir dont l’une des extrémités est munie d’un mince filin. Lorsqu’un cocher agite son fouet, il donne de l’énergie cinétique à la lanière. Cette énergie se propage le long de la lanière jusqu’à l’autre extrémité du fouet. L’énergie cinétique se trouve alors concentrée dans l’extrémité et la vitesse de celle-ci peut alors dépasser la vitesse du son. On obtient ainsi une mini-onde de choc semblable à celle produite par un avion supersonique. Cette explication, proposée par l’Allemand Otto Lummer en 1905, sera finalement vérifiée avec l’aide de caméras ultra-rapides pouvant prendre plusieurs milliers d’images à la seconde. Les chercheurs observeront même que la vitesse de l’extrémité du fouet pouvait être deux fois supérieures à celle du son.

Les ondes de choc jouent un rôle important en physique moderne et en ingénierie, dans les opérations militaires, en traitement des matériaux et en médecine. Leur étude a fourni de nombreuses informations sur les propriétés des gaz et le comportement des matériaux à la suite d'un brusque apport d'énergie et a contribué au développement des lasers à gaz et à la science des plasmas.
Dans ce documentaire, les nouvelles techniques vidéo-numériques se mêlent à des méthodes d'imagerie optique pour révéler les ondes de choc telles qu'on ne les avait jamais vues.

Pierres d’Ica : une lettre des temps anciens ?

Dimanche 25 novembre 2012725/11/Nov/201219:48
Pierres d’Ica : une lettre des temps anciens ?
Fhoto : wikipedia.org

Trop paresseux pour terminer la rédaction de leur calendrier, les Indiens Maya ont fait trembler leurs descendants dans l’attente de la fin du monde. Mais certains d’entre eux ont pris la peine de réaliser des gravures sur des milliers de pierres pour envoyer dans le futur une bonne nouvelle : la fin du monde a déjà eu lieu.

Cette année, des fossiles étranges ont été découverts au Kamtchatka. On aurait pu les prendre pour des restes d’animaux anciens. Seul un fait laissait les spécialistes perplexes : ces créatures avaient des formes trop précises pour des restes d’animaux. Les fossiles ressemblaient à des parties d’un mécanisme, comme s’il s’agissait des roues dentées de tailles différentes. A en juger par la couche où on a trouvé ces éléments, ils devraient avoir environ 400 millions d’années. L’archéologue de Saint-Pétersbourg Iouri Goloubev qui a retrouvé ces éléments, tout comme ses collègues américains, ont confirmé que les fossiles ressemblent à des éléments d’une machine.
La science a ignoré cette découverte du Kamchatka. Et les journalistes se sont rappelés des autres découvertes qui ont fait sensation. Il s’agit par exemple des objets sphériques étranges dont la taille varie de 2,5 à 10 centimètres, que les mineurs de la ville de Klerksdorp en Afrique du Sud retrouvaient de temps en temps. L’âge approximatif de la roche dans laquelle ces sphères ont été retrouvées est de 3 milliards d'années. Les archéologues ne sont pas d’accord quant à l’origine de ces objets anciens. Ceux qui défendent leur origine artificielle font valoir que ces sphères portent des signes évidents de traitement technologique, notamment des incisions longitudinales. Quant aux géologues, ils estiment que les sphères sont d’origine naturelle et ces incisions sont le résultat de l’oxydation et de l’exposition à l’air.
Il est plus difficile d’expliquer par des causes naturelles la découverte faite en 1934 par Emma Khan, originaire de la petite ville de London dans l’état américain du Texas. Dans un morceau de roche, elle a trouvé un marteau. Sa poignée, étant à l’origine en bois, s’est solidifiée avec le temps. Mais le marteau s’est bien conservé car il est fait en métal de bonne qualité que les hommes ont réussi à fabriquer il y a seulement 10.000 années. Le paradoxe, c’est que ce marteau « s’est enraciné » dans la roche pétrifiée, dont l'âge est estimé à au moins 65 millions d'années. Autrement dit, tout cela est arrivé à l'époque des dinosaures.
Toutefois, les archéologues estiment que les hommes capables de fabriquer des marteaux de cette qualité ne sont apparus sur Terre plusieurs millions d’années après l’extinction des dinosaures. Ils ne pouvaient donc pas voir des dinosaures vivants. D’ou viennent alors les dessins sur les pierres dans la province péruvienne d'Ica?
Ces dessins représentent de vrais dinosaures des espèces différentes : des triceratops, des stégosaures, des tyrannosaures et des brontosaures. Des hommes sont également présents sur certains de ces dessins. Ils font soit la chasse aux dinosaures, soit les utilisent comme un moyen de transport, surtout des tricératops ou des ptérodactyles. Sur certaines pierres d’Ica on peut voir des images des mammifères qui étaient caractéristiques uniquement pour le continent américain. Sur d’autres pierres sont représentées des scènes de transplantations du cœur, et même du cerveau, ainsi que des dessins des systèmes stellaires et des appareils volants. En voyant ces dessins d’Ica pour la première fois, on a tendance à penser qu’il s’agit des faux, fabriqués exprès pour des touristes crédules. Mais tout n’est pas si simple.
Pour la première fois ces pierres aux animaux étranges sont mentionnées en 1570 dans la chronique de l’historien indien Juan de Santa Cruz Pachacuti qui s’appelle Relation de dades antique d'este Reyno del Peru (légendes anciennes du royaume du Pérou). Au début des années 60 du XXe siècle, les pierres d'Ica ont été vendues à bas prix sur le marché noir des antiquités au Pérou. Elles sont devenues célèbres grâce au professeur de médecine de l’Université de Lima Javier Cabrera (1924-2001). Ayant reçu sa première pierre pour son anniversaire en 1961, il a passé 40 années suivantes de sa vie pour l’étude des pierres et des roches. Il a même créé un musée, qui abrite actuellement une collection de plus de 11.000 pierres d’une taille de 30 cm à 1,5 m, gravés ou couverts de motifs différents. En 1976, Cabrera a publié un livre intitulé The message of the Engraved Stones of Ica (le Message des pierres gravées d'Ica), dans lequel il a avancé l'hypothèse qu’une civilisation développée qui existait sur Terre, a enregistré sur ces pierres l'histoire de l'humanité pierres et laissé ces pierres sur la planète, avant de la quitter à cause d'une catastrophe mondiale. Par exemple, avant le déluge biblique. Les pierres ont été choisies comme un matériau qui peut survivre tout bouleversement. Quant aux dessins, notamment ceux qui représentent des scènes avec des opérations chirurgicales, ils sont conçus pour faire passer des messages à l’humanité qui survivra après la catastrophe.
Cabrera a remporté le titre de « Fils adoré de la ville » à Ica, ayant reçu une médaille d’or. Mais nombreux étaient ceux qui le trouvaient fou et falsificateur. Les pierres d’Ica étaient considérées comme une falsification moderne, et plus personne n’y prêtait son attention. Ce verdict a été fondé, notamment sur le témoignage des chercheurs péruviens qui ont admis qu’ils ont gravé les pierres eux-mêmes.
Toutefois, selon l'historien russe Andreï Joukov, les arguments des opposants de Cabrera qui visent à discréditer ses conclusions et déclarer sa collection avec des gravures de contrefaçon ne tient pas la route:
« Tout d'abord, la vente illégale d'antiquités au Pérou est considérée comme un crime. Par conséquent, les personnes qui ont fourni ces pierres à Cabrera, devaient indiquer qu’ils ont fabriqué les pierres pour éviter des poursuites pénales. D'autre part, les différentes techniques de falsification diffèrent des véritables gravures sur pierre. Troisièmement, l'examen des dizaines de pierres, avec des images de dinosaures, réalisé à la demande de Cabrera par Mauricio Hochshild Mining Co., a confirmé leur authenticité. Des résultats similaires ont été présentés lors de l’expertise à l'Université de Bonn, l'Université de Lima et le laboratoire de l'Ecole d'Ingénierie de Lima ».
Joukov souligne que les images de certains dinosaures sont bien la preuve de l'authenticité de la collection d'Ica, dont les restes de dinosaures ont été découverts par des paléontologues au début des années 1990, beaucoup plus tard que l’année, lorsque ces objets faisaient partie de la collection de Cabrera! Il s’agit d’une image de diplodocus avec des plaques de la colonne vertébrale, semblables à ceux que possédaient les stégosaures. Il est peu probable que les paysans péruviens à peine lettrés, qui s’occupaient de la fabrication des pierres fausses, aient pu imaginer cet animal rare en détails. L’hypothèse que des chimistes expérimentés, qui étaient censés « vieillir » ces pierres, puissent vraiment tromper l’oeil des experts. Enfin, il serait difficile de cacher l'existence de ces laboratoires qui ont produit des dizaines de milliers de pierres gravées.
La collection de Cabrera pourrait être vraie. Mais si on est d’accord avec cette affirmation, alors on peut remettre en question la compréhension actuelle de l'histoire de la Terre. Et les preuves pour appuyer ces questions sont nombreuses.
NP le nouveau paradigme

Mythes et légendes sur "la fin de notre monde"

Dimanche 25 novembre 2012725/11/Nov/201218:03

quand les éléments se déchaînent...
Les Aztèques pensaient que plusieurs univers "soleils" avaient existé avant le nôtre.
Chacun de ces mondes furent détruit pour donner naissance à une nouvelle humanité désignée à chaque fois par un élément distinct (terre, vent, feu ou eau).
Paradoxalement, ces 4 éléments symbolisent à la fois la nature même de la Création mais également les pouvoirs manifestés de sa destruction..
la destruction par la terre
" La fin de toutes les créatures est venue devant moi, car la terre est remplie de violences à cause d'elles. Je veux les détruire avec la terre."
judéo-chrétien
Le jugement Au jour du jugement, le soleil s'obscurcira et la terre tremblera... Les morts sortiront de leurs tombeaux et seront rassemblés sur une place. Commencera alors le jugement : tous les actes humains seront pesés sur une balance, et les anges distingueront les pécheurs des hommes vertueux. Sur le pont étroit qui conduit au paradis, certains tomberont et seront précipités en enfer.
Aztèque
Les 4 soleils Le premier monde, dit Soleil de Terre, et régit par Tezcatlipoca, est peuplé de géants mais Quetzalcoatl, armé d'un bâton, précipite Tezcatlipoca dans la mer. Celui-ci ressortira de l'océan transformé en un gigantesque jaguar qui exterminera la race des géants en engloutissant la Terre..
Les araucans du Chili
"Le déluge était le résultat d'éruptions volcaniques accompagnées de violents tremblements de terre".

la destruction par l' air
Aztèque
Les 4 soleils La création, dite Soleil de Vent, est dominée par Quetzalcoatl.
Elle est anéantie par Tezcatlipoca, qui abat son rival d'un coup de pied et fait souffler une terrible tempête à l'issue de laquelle tous les habitants de ce deuxième monde sont transformés en singes.
(...)

la destruction par le feu
La Bible : Sodome et Gomorrhe "Yahvé fit pleuvoir sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu venant du ciel "
Aztèque - Les 4 soleils Le troisième monde, baptisé Soleil de Pluie et régenté par Tlaloc, est détruit par Quetzalcoatl, qui le consume sous une pluie de feu magique et transforme ses habitants en dindons.
Mythologie germanique A la fin de chaque cycle cosmique, les êtres divins, Vanes et Ases, entrent en conflit avec les Géants, habitants de l'enfer, qui incendient le monde. Cette destruction annonce malgré tout une nouvelle ère de création.
hindouisme- "Douze soleils feront évaporer la mer; alimentés par l'eau se formeront sept autres soleils qui transformeront le monde en cendres. La terre deviendra aussi dure qu'une carapace de tortue."
" Cette destruction du monde sera précédée d'une sécheresse de 100 années. Sept explosions de lumière assécheront toutes les eaux... 12 soleils feront se dessécher les mers.... La terre deviendra dure comme le dos d'une tortue. Un feu issu de la bouche d'un serpent souterrain brûlera les mondes inférieurs puis la surface de la terre et embrasera l'atmosphère... Le Dieu destructeur soufflera d'énormes nuages qui feront un bruit terrible..." (Vishnu Purana)

la destruction par l' eau
Sumer - L'Épopée de Gilgamesh " Durant six jours et sept nuits. Le vent souffla, tempête et inondation submergèrent le pays; Quand vint le septième jour, la tempête, l'inondation et la tuerie, qui avaient lutté comme une femme en travail, s'évanouirent. La mer se calma, le vent s'apaisa, l'inondation s'arrêta. Je regardais le temps dehors; le silence régnait car toute l'humanité était redevenue argile. La plaine d'inondation était plate comme un toit. J'ouvris un hublot et la lumière tomba sur mes joues. Je me courbai, puis m'assis. Je pleurai..." (Outanapishtim)
Judéo-chrétien la genèse (VI,7 / VII,19) « Et l’ Éternel dit: J’exterminerai de la face de la terre l’homme que j’ai créé, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles, et aux oiseaux du ciel; car je me repens de les avoir faits. » - « Les eaux grossirent de plus en plus, et toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel entier furent couvertes. »
Aztèque - Les 4 soleils Le monde du Soleil d'Eau, qui est placé sous le signe de l'épouse de Tlaloc et est détruit à la suite d'un déluge massif qui rase les montagnes, jette les cieux sur la terre et change tous les êtres humains en poissons.
Australie Une grenouille géante avait absorbé toute l’eau et asséché la terre entière. C'est alors qu'une anguille exécuta devant elle des contorsions qui la firent rire. Incapable de retenir plus longtemps l'eau qu'elle gardait précieusement, la Grenouille géante la recrachant provoquant ainsi le déluge.
Iran (avesta, videvdat, chap.2) La fonte des neiges accumulées pendant un long et terrible hiver causa le déluge qui détruisit l'humanité.


la destruction par l' Homme

Les 4 âges de l'humanité - une succession de décadences
mythologie grecque
L'âge d'or"Les hommes vivaient comme des dieux, exempts d'inquiétudes et de fatigue; la cruelle vieillesse ne les affligeaient point; ils se réjouissaient au milieu des festins. Ils mourraient comme enchaînés dans un doux sommeil. Tous les biens étaient à eux : la Terre féconde produisait d'elle-même d'abondants trésors." (Hésiode)
L'âge d'argent Les hommes de cette race mettaient cent ans à croître et passaient de l'ignorance enfantine à la stupidité en atteignant l'âge pubère. Ils vivaient peu longtemps, accablés de douleurs, injustes les uns envers les autres et n'honorant pas les dieux bienheureux. Zeus irrité les engloutira.
L'âge d'airain "Leur cœur impitoyable avait la dureté de l'acier; leur force était indomptable, leurs bras invincibles." Ces homes finirent par s'égorger mutuellement. Cette période à été marquée par la découverte des premiers métaux.
L'âge de fer C'est notre monde actuel avec son lot de misères, de crimes. Un mondé dénué de respect, de foi et de vertu.


les élus
Précurseurs d'un nouveau cycle, ils sont à la fois les rescapés et les parents
d'une nouvelle génération d'hommes...
Ziusudra (mythe Sumérien)
Ziusudra reçoit d’Éa, le dieu de la sagesse, l’ordre de construire un immense navire pour survivre à la destruction, lui et sa famille; sept jours et sept nuits, le déluge balaie la terre. "Toutes les tempêtes, d'une violence inouï firent rage en même temps."
Puis le calme revient ; le bateau s’arrête sur une montagne; Utu, le dieu du soleil, sort des nuages. Ziusudra ouvre une fenêtre de son bateau, qui se remplit de lumière ; il envoie une colombe, puis une hirondelle, qui reviennent à lui, puis un corbeau qui ne revient pas.
Ziusudra comprend que les eaux se sont retirées ; il se prosterne devant Utu et fait un sacrifice aux dieux. An et Enlil l’installent avec sa femme dans une île, sorte de paradis, pendant que leurs descendants repeuplent la terre.


Atrahasis (mythe akkadien )
Enlil décida de déchaîner un déluge mais Enki révéla le projet à Atrahasis qui construisit un bateau hermétiquement clos pour y embarquer les siens et tous les animaux envoyés par le dieu bienveillant.
Le cataclysme dura 7 jours et 7 nuits. Les dieux réalisèrent alors qu'en détruisant l'humanité ils s'étaient privés de toute subsistance. A la fin du déluge, le bateau ayant échoué sur une montagne, Atrahasis libéra les animaux et offrit un grand sacrifice aux dieux affamés. Bien que rassasié lui aussi, Enlil entra en fureur car on avait, une fois encore, désobéi à sa volonté.
Pour le calmer, Enki et la déesse-mère Nintu proposèrent de limiter la prolifération des hommes en introduisant la mort naturelle, la stérilité féminine, la mortalité infantile, et en interdisant aux prêtresses de procréer...


oUtaNapishtim (mythe Babylonien - l'Épopée de Gilgamesh )
Sauvé du Déluge et devenu immortel,Outanapishtim décrit en détail à Gilgamesh comment il bâtit un bateau pour y rassembler les siens et les animaux.
Quand les pluies eurent cessé et la décrue commencée, il envoya en reconnaissance une colombe, une hirondelle puis un corbeau qui, ne revinrent jamais. Ayant échoué sur une montagne, il fit par la suite un sacrifice aux dieux affamés.
Ayant décidé d'enrayer la prolifération des hommes par l'envoi de famines, d'épidémies et de bêtes sauvages, le grand dieu Enlil accorda l'immortalité à Outanapishtim et à sa femme.
"Auparavant Outanapishtim était un humain;
Maintenant Outanapishtim et sa femme seront semblables à nous les dieux"


Noé (récit judéo-chrétien )
"Ainsi le Seigneur effaça tous les êtres de la surface du sol, hommes, bestiaux, petites bêtes, et même les oiseaux du ciel. Ils furent effacés, il ne resta que Noé et ceux qui étaient avec lui dans l' arche. La crue des eaux dura cent cinquante jours sur la terre."


Yima (Iran)
Ahura Mazda conseille à Yima, le premier homme de se retirer dans une forteresse. Yima prend alors avec lui les meilleurs hommes et les différentes espèces d’ animaux et de plantes. Le déluge met fin à l’ âge d’or, qui ne connaissait ni vieillesse ni mort. (avesta, videvdat, chap. 2)


Deucalion ( mythologie grecque )
Un jour, Zeus en eut assez de la méchanceté des Hommes et décida de les anéantir sous les flots d'un déluge.
Connaissant ce dessein, Prométhée avertit Deucalion, son propre fils, et lui conseilla de construire une arche pour lui et sa femme Pyrrha. Ces derniers flottèrent 9 jours et 9 nuits sur les flots déchaînés pour finalement aborder la cime du Parnasse.
C'est ainsi qu'ils furent tous deux épargnés. C'est suite à un sacrifice offert à ZEUS que Deucalion put lui demander de faire revivre la race humaine.


Manu (mythe hindou - satapatha-brahmana)
Lorsque le Déluge arriva, un poisson que Manu avait attrapé, et dont il avait épargné la vie, se mit à grandir. Ce dernier lui avait dit de construire un bateau et de l'attacher à sa proue.
C'est ainsi que le poisson conduisit le bateau au-dessus des vagues, et le mena jusqu'à la montagne Hismavat. C’est là que Manu attendit l’ écoulement des eaux. À la suite d’ un sacrifice offert aux Dieux, il obtint une femme, et de leur union descend la nouvelle race humaine.


Mythe Aztèque
L’humanité a été anéantie par le déluge, mais un homme et une femme se sauvèrent dans une barque et abordèrent une montagne. Ils eurent par la suite un grand nombre d’enfants. Ceux-ci restèrent muets jusqu'au jour où une colombe leur communiqua le don des langues.


COSMOBRANCHE
NP le nouveau paradigme