dimanche 11 novembre 2012

Que se passe t-il réellement dans l'espace? ce que la NASA ne vous dira jamais!

Dimanche 11 novembre 2012711/11/Nov/201217:17
LE SOLEIL EN GEANTE ROUGE?





Le mécanisme à l'oeuvre dans la rotation et la forme des galaxies est un Trou Noir Super Massif, localisé directement au centre de la Voie Lactée qui contient environ 3,7 millions de masses solaires appelé Sagittarius A.

Ces trous furent l’objet de nombreuses controverses jusqu’à ce que le télescope Hubble commence à en trouver au centre de chaque galaxie. À la surprise de la communauté scientifique, plusieurs Trous Noirs super massifs furent trouvés dans certaines galaxies. Avec le développement de nouvelles technologies, des données plus justes ont été recueillies, ce qui a entraîné le remplacement des vieux modèles théoriques par de nouveaux.

Aujourd’hui, nous savons que ces Trous Noirs tournent à une vitesse incroyable vu leur masse gigantesque. À cette vitesse de rotation, le champ gravitationnel des Trous Noirs n’est plus sphérique mais est plutôt aplati, formant ainsi un disque très massif et extrêmement mince.
Qu’avons-nous découvert à leur sujet jusqu’à présent ?


Ces Trous Noirs sont des points ayant des propriétés inhabituelles, appelées « Points de Singularité ». Des points où l’espace-temps et toutes les lois de la physique ne tiennent plus. Si nous pensons à un univers tel un filet d’espace-temps, la gravité des étoiles et des planètes ordinaires crée une bosse dans ce filet. Certaines personnes pensent qu’il est possible de tomber dans le trou de cette Singularité et de ressortir dans une autre partie de l’Univers, et même dans un Univers parallèle.
Une autre importante chose à connaître sur les Trous Noirs est qu’ils traversent des cycles qui durent des milliers d’années. À la fin de chaque cycle, ils explosent et, du Point de Singularité, ils émanent une forme d’énergie très puissante, toujours inconnue des humains.
Elle est si puissante qu’elle affecte l’ADN de la Vie, l’ensemble de la structure de la galaxie, et usuellement s’étend jusqu’aux limites les plus éloignées de la galaxie, et au-delà. D’une certaine façon, nous pouvons les concevoir comme des programmes de scannage par le Créateur Cosmique.
Durant la puissante explosion, deux choses sont observables et communes à toutes les galaxies qu’il nous a été possible d’observer. La première est un jet cosmique venant directement du Trou Noir Super Massif and voyageant perpendiculairement au disque galactique. Le second est la propagation d’une bulle-vague-pulsation qui se dirige le long du plan galactique, s’étendant vers les rebords de la galaxie, et au-delà.



Il n’y a pas si longtemps, grâce à une nouvelle technologie de surveillance lancée dans l’espace, il fut confirmé que quelque chose d’extraordinaire était définitivement survenu au centre de la Voie Lactée.

Les images et vidéos montrent clairement ce jet cosmique, provenant du centre galactique. L’analyse des données confirme aussi qu’il y a eu une puissante décharge d’une quantité énorme d’énergie, qui, tel une vague énorme, circulaire et brillante, se répand du centre de la galaxie vers sa circonférence.


Cette pulsation énergétique émise affecte déjà toute la Voie Lactée, y inclus le petit point que nous appelons notre système solaire. Il existe des données probantes indiquant que cette vague va nous rejoindre très bientôt et va nous frapper de pleine force. Depuis récemment, dans le spectre visible, il n’était pas possible, pour les scientifiques, de voir directement le centre de la Voie Lactée vu les nuages de poussière interférant. Ils devaient balayer (scanner) le centre galactique avec des rayons X, dans l’espoir que leur balayage leur permettraient de voir au travers de ces nuages de poussière.
Pour cette raison, en 1999, la NASA a lancé un satellite appelé « The Chandra X-ray Observatory », capable de balayer l’espace à l’aide rayons X.


Beaucoup de ce qui était demeuré invisible aux humains, devint visible. Chandra a réussi à enregistrer le jet cosmique qui fut éjecté du Trou Noir Super Massif de la Voir Lactée, ainsi que l’énorme et puissante Vague Galactique qui s’étend le long du disque galactique.

Les images procurées par Chandra étaient plus qu’étonnantes et les astrophysiciens se grattaient la tête en tentant de comprendre ce qu’ils voyaient et ce que cela signifiait pour notre planète. Quelques articles apparus sur l’internet, avec évidence vidéo à l’appui, furent publiés par la NASA à propos des données de Chandra relative à Sagittarius A (le nom de code donné au Trou Noir Super Massif de la Voie Lactée), mais aucune donnée ne fut publiée quant à savoir ce que cela signifiait pour nous et en quoi cela affectera notre système solaire. Selon le style des articles, un lecteur non renseigné se dirait qu’on ne doit pas s’inquiéter de quoi que ce soit, que cela est trop loin de nous et que cela ne nous affectera pas au cours de cette vie.
Pour ceux qui comprennent réellement l’astrophysique avancée, qui peuvent penser en dehors des sentiers battus, il devenait évident que cette découverte a une importante primordiale pour nous et qu’elle requiert beaucoup plus d’attention. Les données plus récentes indiquent que nous ne devons surtout pas nous en inquiéter.


Chandra a aussi enregistré des étoiles qui grossissaient en volume sous l’influence de cette vague énergétique et passaient différentes étapes de développement : d’abord un renflement du volume, puis une éjection de la couche externe, pour devenir une plus petite étoile. Évidemment, si vous appeler la NASA, ils vont nier tout cela, de la même manière qu’ils approchent la question des extra-terrestres.

La prédiction est que le même processus va arriver au Soleil dès que cette vague énergétique, extrêmement puissante, entrera en contact.

ET cela ne sera pas dans 5 millions d’années, mais exactement le 23 décembre 2012. Voilà la seule raison pour laquelle les cités souterraines ont été bâties, afin que l’élite soit en sécurité, tout comme les autres faisant partie de leur club.

Habituellement, voici le moment où la plupart de vous présente des objections, se disant que d’aucune façon, cela peut être exacte, mais je vous encourage de continuer à lire alors que je vous présente quelques faits que vous ne pourrez mettre de côté.

Le « Fermi Gamma-ray Space Telescope »de la NASA, autrefois le GLAST, est un poste d’observation spatiale performant des lectures astronomiques des rayons gamma, à partir d’une basse orbite de la Terre. Cette station spatiale orbite à environ 300 miles (700 km) au-dessus de notre planète, balayant et recueillant des images de l’univers, en ce qui a trait aux rayons gamma. Les rayons gamma, contrairement aux rayons X ou d’optique légère, ne peuvent être captés et reflétés par des miroirs. L’instrument principal du Fermi est le Large Area Telescope (LAT), mais il y a aussi le Gamma-ray Burst Monitor (GBM) visant à étudier les jaillissements de rayons gamma.
À l’aide des données du Fermi, la NASA a récemment découvert une structure gigantesque et mystérieuse dans la Voie Lactée. Cette structure consiste en une paire de bulles s’étendant au-dessus et en-dessous du centre galactique. Chacune des bulles est 25,000 années-lumière en hauteur, les deux formant une structure de 50,000 années-lumière de distance, procurant une évidence solide à ce que Chandra avait détecté auparavant. Cela indique clairement une éruption à partir du Trou Noir Super Massif au centre de notre galaxie.
De plus, à l’aide Fermi, une structure de rayons gamma, géante, a été détectée, ayant de 1 à 10 millions de voltes électriques. Cette structure émerge du centre de la galaxie et se répand à 50 degrés, nord et sud, du disque galactique, recouvrant le ciel de la constellation de la Vierge à la constellation Grus. Après l’analyse des données, une énergie énorme fut détectée, mais véritablement énorme.



Les scientifiques de la NASA et de l’Université du Kansas disent que les rayons gamma sont les explosions les plus puissantes connues. La plupart proviennent de galaxies lointaines et un bon pourcentage est probablement émis par l’explosion d’étoiles jusqu’à 15 fois la grosseur de notre Soleil.
Tel que mentionné, les explosions créent des faisceaux de rayons gamma qui courent à travers l’espace.

Les scientifiques ont calculé que la radiation des rayons gamma provenant d’une explosion d’une étoile, assez proche de nous, frappant la Terre pour seulement 10 secondes, pourrait endommager au moins la moitié de la couche protectrice d’ozone qui pour s’en remettre pourrait prendre des années, sinon des décennies.

La couche d’ozone endommagée, la radiation ultraviolet provenant du Soleil pourrait tuer une bonne partie de toute la vie sur la surface de la Terre et près de la surface des océans et lacs, perturbant la chaîne d‘alimentation.

Une autre confirmation arrive de la Namibie. Les astrophysiciens utilisant le télescope HESS pour rayons gamma, en Namibie, ont annoncé la détection de rayons gamma, de très haute énergie, provenant d’énorme nuages de gaz, connus pour imprégner le centre de notre galaxie. Les données montrent que l’intensification des rayons cosmiques au cœur de notre galaxie correspond à un jaillissement de particules en accélération mises par le Trou Noir Super Massif.
Le système HESS est actuellement le plus sensible appareil de détection des rayons gamma. Ceux-ci sont absorbés dans l’atmosphère, où ils donnent une pluie courte de particules. Le télescope HESS peut détecter de faibles et courts éclairs, de lumière bleuâtre, émises par ces particules, éclairs durant un billionième de seconde. La lumière est recueillie à l’aide de grands miroirs reflétant en des caméras extra-sensibles. Chaque image donne la position dans le ciel de chaque photon de rayon gamma, et la quantité de lumière recueillie donne un indice de l’énergie du rayon gamma initial. Construisant les images, photon par photon, permet à HESS to créer des cartes d’objets astronomiques tels qu’ils apparaissent dans les rayons gamma.


La réelle surprise est survenue quand les données de HESS ont montré que la densité des rayons cosmiques excédait celle du voisinage solaire de manière significative.

Cette différence augmente alors que l’énergie augmente, indiquant que les rayons cosmiques ont récemment accéléré.

Donc, ces données indiqueraient que les nuages sont illuminés par un accélérateur de rayons cosmiques, qui a été actif au cours des 26,000 dernières années.

Cette donnée temporelle est parallèle avec les données recueillies dans les glaces de l’Antartique et du Groenland. Le seul candidat pour cette accélération est le Trou Noir Super Massif au centre de notre galaxie parce que les observations ont récemment montré une augmentation dramatique d’énergie due aux rayons gamma à l’équateur de la galaxie.


Une surprise encore plus grande est survenue quand notre Soleil a commencé à se comporter de manière étrange et à être sans taches solaires pour une période de deux ans.

Les bas vents solaires ont causé une fragilité dans l’héliosphère, ce qui a résulté en l’effondrement de la thermosphère de la Terre. Le monde a été témoin de courants électromagnétiques, en haute atmosphère, là où ils ne devraient pas exister. Des réunions secrètes ont été tenues où cette nouvelle situation a été discutée et en quoi cela va influencer les systèmes électriques de la Terre entière.

Ce qui est surprenant est qu’après 400 ans d’observation, juste quand nous pensions que nous commencions à comprendre les dynamiques les plus complexes de notre étoile, le Soleil nous a montré que cela n’est pas le cas, en faisant quelque chose qu’il n’avait fait auparavant.

Le Soleil est devenu très tranquille, sans taches solaires, en 2008-2009, résultant en l’effondrement d’une couche de gaz raréfié appelé la thermosphère. Nous n’avions jamais observé le Soleil devenir si calme auparavant, ni cet effondrement de la thermosphère, haute en altitude autour de la Terre, là où l’atmosphère rencontre l’espace.

Cela a conduit également à des déviations du champ magnétique de la Terre, créant des ouvertures majeures dans la magnétosphère. Les mêmes anomalies continuent à apparaître, et les statistiques démontrent que ces anomalies ne cessent pas, mais augmentent.
En 2008, la seule chose logique à faire était de chercher pour un indice quant à savoir pourquoi notre étoile, et le système solaire dans son ensemble, vivent des changements extrêmes et jamais vus, et ce à tous les niveaux. Il fut décidé de balayer le ciel afin de tenter de détecter des perturbations près de notre système solaire et de découvrir s’il y avait une interaction entre notre système solaire et l’espace interstellaire, qui pourrait être la cause de ces anomalies.



Est-ce que quelque chose a été détectée ?
Oui, quelque chose de majeur fut détecté aux confins de notre système solaire, ou, pour être plus spécifique, là où l’équateur galactique est situé.
Croyez-le ou non, le réponse est provenue du véhicule peu dispendieux de la NASA nommé IBEX (Interstellar Boundery Explorer), lancé dans l’espace le 19 octobre, 2008.
Une véritable terreur s’est instauré chez les astrophysiciens au fait de ces données quand IBEX a découvert un Ruban Géant magnétique à l’orée de notre système solaire. Ce ruban fait 30 années-lumière de largeur et contient un fin mélange d’atomes d’hydrogène et d’hélium, à une température de plus d’un million de degrés Celsius. Il est hautement magnétique.


Ce Ruban Géant est suffisamment puissant pour énergiser notre Soleil et le propulser dans sa phase de Géante Rouge.


La NASA a publié quelques articles au sujet de cette découverte, stipulant que notre système solaire est entouré par de chauds nuages magnétiques et interstellaires, les dénommant la « Bulle Locale ». Il est aussi été dit que notre héliosphère (la bulle protectrice autour du système solaire) est la première défense contre ces rayons cosmiques et ces nuages interstellaire qui essaient de pénétrer notre espace local. Wow !
Ce chaud nuage interstellaire gigantesque est apparu juste à temps, c’est-à-dire quand notre héliosphère s’est affaiblie, quand notre Soleil a commencé à se comporter bizarrement, quand la thermosphère de notre planète s’est effondrée, quand les pôles magnétiques de toutes les planètes de notre système solaire, y inclus la Terre, commencent à se renverser. Est-ce que tout cela n’est réellement qu’une coïncidence ?
Je ne le pense pas.


Tout comme un peintre impressionniste compose une image à l’aide d’innombrables coups de pinceau, IBEX construisait une image de la frontière ultime de notre système solaire, à partir d’impacts sur le véhicule spatial par des particules à haute vitesse appelées des atomes neutres énergétiques. Ces particules sont créées dans la région frontispice où les vents solaires soufflent dans toutes les directions à partir du Soleil et labourent dans le gaz interstellaire de l’espace.
Il importe de comprendre que notre héliosphère est une vaste bulle de magnétisme qui émerge du Soleil et se répand au-delà de l’orbite de Pluton. Quoiqu’elle soit large et remplisse le ciel littéralement, elle n’émet aucune lumière et personne ne l’avait actuellement vue jusqu’à ce que IBEX soit mis en jeu.
Aucune sonde spatiale n’avait auparavant imagé la zone de collision situé dans la région de l’héliosphère parce que, tel que mentionné, elle n’émet aucune lumière. Cependant, les deux détecteurs sur IBEX sont dessinés pour voir ce que l’œil humain ne peut voir. L’interaction des vents solaires et du medium interstellaire crée une zone énergétique neutre d’atomes d’hydrogène, appelée ENAs, qui s’éloignent rapidement de la héliosphère dans toutes les directions. Certains de ces atomes passent près de la Terre, où IBEX enregistre la direction de leur arrivée et leur énergie. Alors que la sonde spatiale tournoie lentement, les détecteurs construisent graduellement des images des ENAs comme ils arrivent de toutes directions.
IBEX a composé les premières cartes spatiales de l’héliosphère, et les résultats ont pris de nombreux scientifiques par surprise. Les cartes sont coupées en deux par un ruban brillant et d’origine inconnue. Sur l’image ci-contre, les points V1 et V2 indiquent le positionnement des sondes spatiales Voyager. Il est intéressant de noter que les sondes Voyager 1 et 2 n’avaient rien détecté à cet endroit auparavant. Ce serait comme si on avait deux stations météorologiques et qu’elles n’enregistreraient pas une énorme tempête entre les deux.
En réalité, ce n’est pas qu’elles ne manquent pas la tempête énergétique. C’est juste qu’elle n’était pas là auparavant. Elle vient juste d’apparaître, ce qui est confirmé par la sonde spatial Cassini, qui ne l’avait également pas détecté auparavant, tout comme Voyager. Ces sondes l’ont toutes manquée parce que nous voyons la pulsation grandissante de l’énergie provenant de l’explosion du Tour Noir Super Massif de notre galaxie, en un passé lointain.
Quoique le Ruban Géant soit brillant sur les cartes d’IBEX, il ne scintille d’aucune façon. Ce ruban n’est pas une source de lumière, mais plutôt une source de particules, les ENAs. Les senseurs de IBEX peuvent détecter ces particules, qui sont produites dans la haute héliosphère où les vents solaires commencent à ralentir and à se mélanger avec la matière interstellaire à l’extérieur de notre système solaire.
À tous les 6 mois, la NASA reçoit une mise à jour d’IBEX. Quand les scientifiques ont fini d’assembler une deuxième volée de données couvrant le ciel dans son entièreté, IBEX avait à nouveau fourni un résultat inattendu : la carte avait changé significativement. Les nouvelles observations montraient que l’interaction entre le Soleil et le médium interstellaire est beaucoup plus dynamique et variable qu’envisagé auparavant.

L’intérêt de cette énorme interaction à l’orée de notre système solaire est devenu énorme. Donc, afin de garder le public ignorant de ce qui se passe réellement, ils ont inventé une histoire à l’effet que le ruban magnétique n’est qu’une réflexion. Cette histoire est très intéressante parce qu’elle n’explique pas pourquoi les sondes spatiales Voyager et Cassini ne voyaient pas cette réflexion auparavant !?


Il n’y avait rien là et, tout d’un coup, tous les appareils de détection disponibles dans l’espace voient cette chose !?
De toute évidence, il s’agit d’une histoire inventée de toute pièce. Un autres six mois passa et la mise ç jour de IBEX n’a jamais été publiée ou personne dans le public n’en a vu les données. Une histoire secrète !
Cependant, nous avons déjà tout ce dont nous avons besoin, si nous savons où regarder et quoi regarder. J’imagine que vous avez déjà perçu le message. Nous faisons face à des méga événements à la fin de cette année (2012). Peut-être que certains d’entre vous penseront : « Si cette vague d’énergie est réelle, cela signifierait-il que toutes les étoiles de la Voie Lactée, placées dans la trajectoire de la vague galactique, ont déjà été affectées ? »
Est-ce le cas ?
Affirmatif ! Allez sur l’internet et entrer, dans des engins de recherche, la phrase « Why does the Milky Way Galaxy’s nuclear bulge contain so many Red Giants and Supergiants? »
Je crois que vous comprenez mon point DE VUE ici !
Peut-être est-il intéressant de mentionner que certaines personnes communiquent avec moi, énonçant que, si la vague provenant de Sagittarius A est réelle, elle devrait nous rejoindre bien avant décembre 2012, parce qu’elle devrait voyager à la vitesse de la lumière. Pour se comprendre ici, rappelons que cela prend 2 secondes avant que la lumière nous arrive de la lune, 8 minutes du Soleil et 45 minutes de Jupiter.
La réponse est simple car il s’agit de données physiques fondamentales. Si vous lancer une roche dans un lac calme, vous allez créer une perturbation à la surface de l’eau, en des cercles concentriques qui se répandent en s’éloignant de la perturbation. Les cercles concentriques les plus proches sont les plus vites et les plus forts. Plus ils voyagent au loin de l’endroit de la perturbation, plus ils perdent de leur vélocité et de leur puissance, puis ils s’éteignent. La même chose se produit dans l’espace. Nous sommes à 26,000 années-lumière du centre de la galaxie. Quand l’explosion eut lieu, il y a 26,000 ans, la vague galactique allait à la vitesse de la lumière. Après avoir traversé 15,000 années-lumière, elle commença à ralentir et perdit de sa force, et ainsi de suite. Maintenant, elle a été détectée par IBEX à moins de 10 milliards de milles de nous (25 milliards de km), se rapprochant à chaque jour. Elle voyage donc à une vitesse bien moindre que celle de la lumière, mais elle est toujours très rapide et très énergétique, pour notre Soleil et notre planète.



Leur dernière histoire inventée, publiée en 2010, disait que nous ferions contact avec cette vague galactique, ce nuage magnétique, de plus d’un million de degrés Celsius, dans 100 ans. Mais, des recherches indiquent que cette pulsation énergétique provenant du centre galactique fera contact avec le Soleil et la Terre le 23 décembre, 2012, et ce selon un cercle céréalier à Avery Manor en juillet 2005.

De manière à bien comprendre ce qu’il se produira quand la vague galactique atteindra notre étoile, nous devons connaître certains points à propos du Soleil.
Le Soleil est une étoile de type « naine jaune ». « Jaune » vu la couleur de sa surface et « naine » car elle est petite pour une étoile. D’une autre perspective, le Soleil est énorme, puisque ses limites peuvent comprendre 1000 planètes grosses comme la Terre. Le Soleil est la Super Puissance de notre système solaire. Il serait surtout composé d’hélium et d’hydrogène, surchauffés en un plasma qui brûlerait à des millions de degrés. À l’intérieur du Soleil, des atomes d’hydrogènes seraient bridés ensemble, sous une immense pression, pour créer des atomes d’hélium. Dans cette fusion, les atomes résultants sont moins massifs que les atomes les créant. La masse manquante serait transformée en énergie.
À chaque seconde, à l’intérieur du Soleil, 600 millions de tonnes d’atomes d’hydrogène sont fusionnés en 595 millions de tonnes d’hélium. Les 5 millions de tonnes perdues en masse sont converties en une énergie équivalant à un milliard de mega-tonnes de bombes d’hydrogène explosant à la même seconde. Ceci se produirait à chaque seconde à l’intérieur du Soleil. En d’autres mots, le Soleil obtient sa puissance de la fusion nucléaire.
Laissé à lui-même, il aurait suffisamment de carburant pour brûler plusieurs milliards d’années, mais l’évidence présentée ci-haut indique qu’il n’en sera pas le cas.
Comparer la couronne du Soleil, qui est très chaude avec plusieurs de millions de degrés, la surface du Soleil en soi est très froide en comparaison, avec environ 6000 degrés. Quand le Soleil sera touché par la vague galactique, qui est de plusieurs millions de degrés, la couronne du Soleil pourra résister mais, très rapidement, la vague va pénétrer à l’intérieur de la couronne du Soleil et touchera la surface du Soleil. Dès que cette énergie fera un contact physique avec la surface du Soleil, cela changera la rythme auquel notre Soleil dépense son énergie.
Alors que l’hydrogène commencera à se dissiper, notre étoile commencera à se refroidir très rapidement et elle va graduellement s’effondrer sous la force gravitationnelle. L’énergie de cet effondrement réchauffera le centre du Soleil à nouveau à des centaines de millions de degrés. Il va devenir si chaud qu’il commencera à brûler de l’hélium.


Sous la super chaleur de l’hélium, le plasma du Soleil va s’élargir en une géante rouge.
Les géantes rouges sont des étoiles évoluées qui atteignent des tailles plusieurs dizaines plus élevées que le Soleil pour la même masse. A l'intérieur de l'étoile, des ondes acoustiques voyagent dans la zone la plus extérieure tandis que des ondes de gravité sont produites dans le coeur. Elles se traduisent à l'extérieur pas de faibles variations de luminosité de l'étoile. Leur analyse permet de sonder ainsi jusqu'au coeur des étoiles. Crédit SAp/CEA



PaneAndov
David Jarry©2012 tous droits réservés
NP le nouveau paradigme
Note:







Une augmentation graduelle de luminosité
La séquence principale est l’étape pendant laquelle une étoile tire son énergie de la fusion de l’hydrogène en hélium. Une conséquence importante de ce changement est une légère augmentation de la luminosité de l’étoile tout au long de sa vie sur la séquence principale, le soleil semble alors blanc.

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